"Cela fait maintenant trois ans que je ne suis pas venu au Congo. Deux millions de personnes (déplacées) sont rentrées chez elles, il y a eu d'importants progrès dans l'aide humanitaire", a déclaré à l'AFP M. Egeland, arrivé mardi à Kinshasa pour une visite de cinq jours en RDC.
"Toutefois, je suis toujours très préoccupé: la mauvaise nouvelle, c'est que la population civile continue de souffrir. L'impunité est toujours de mise pour les violences, pour les viols que les femmes continuent de subir, en particulier dans les provinces de l'est du pays", a-t-il souligné.
L'ex-Zaïre sort d'une guerre régionale (1998-2003) qui a fait 300.000 morts directs et, jusqu'à aujourd'hui, plus de 3,5 millions de morts indirects, victimes de famine et de maladies, mais aussi de violences.
La situation humanitaire dans ce pays est considérée par le Bureau des affaires humanitaires de l'Onu (Ocha) comme "la catastrophe humanitaire la plus dramatique du monde".
sb/gt/cf
"Toutefois, je suis toujours très préoccupé: la mauvaise nouvelle, c'est que la population civile continue de souffrir. L'impunité est toujours de mise pour les violences, pour les viols que les femmes continuent de subir, en particulier dans les provinces de l'est du pays", a-t-il souligné.
L'ex-Zaïre sort d'une guerre régionale (1998-2003) qui a fait 300.000 morts directs et, jusqu'à aujourd'hui, plus de 3,5 millions de morts indirects, victimes de famine et de maladies, mais aussi de violences.
La situation humanitaire dans ce pays est considérée par le Bureau des affaires humanitaires de l'Onu (Ocha) comme "la catastrophe humanitaire la plus dramatique du monde".
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