Selon le commandant de la huitième région militaire, les opérations conjointes entre les FARDC et l'armée ougandaise l'année dernière dans les territoires de Dungu, Faradje ont été couronnés de succès.
" Les FARDC ont réussi à neutraliser le système de communication de LRA. Actuellement, il y a encore quelques éléments résiduels ne dépassant pas 50 hommes qui sont éparpillés et en errance dans le parc national de la Garamba et qui font des attaques surprises dans des localités de la province Orientale. nous continuons à les traquer", a expliqué le général Jean-Claude Kifwa. La semaine dernière, huit militaires et huit civils ont été abattus lors des exactions des rebelles ougandais de la LRA dans quelques localités du territoire de Dungu, à 780 km au nord-est de Kisangani, a rapporté la Radio Okapi, la station de MONUC.
Selon cette radio, les attaques ont été perpétrées du 11 au 14 mars dans les localités de Bangadi, Duru et Doruma, Selon le président de la société civile de Dungu, le 14 mars, 2 militaires FARDC en patrouille ainsi qu'une femme du village de Badoro ont été abattus par des éléments de la LRA en quête de nourriture.
Cependant, un jour avant cette attaque, 5 autres personnes ont été enlevées dans le groupement de Nambia. Ces personnes appartenaient à une même famille. Trois d'entre elles ont été tuées quelque temps après leur enlèvement.
Le 12 mars, affirme la même source, une embuscade tendue aux FARDC à Limbidia s'est soldée par la mort de 2 éléments FARDC.
Le même jour, dans le village de Ndorenzi, dans la province Orientale, deux éléments des FARDC et un civil, embarqués tous sur une même moto, ont été tués. A Madudu, toujours dans la province Orientale, 3 civils ont péri sous les coups de la LRA dans leur champ, précise le président de la société civile de Dungu.
Un combattant de bataillon et son garde du corps ont été tués le même jour à Banangbala pendant qu'ils contrôlaient les positions de leurs troupes, conclut la même source.
"La société civile locale et l'administrateur intérimaire de Dungu ont exprimé leurs inquiétudes du fait que ce sont des personnes sensées protéger les civils qui sont tuées au cours de ces attaques.", a conclu Radio Okapi.
" Les FARDC ont réussi à neutraliser le système de communication de LRA. Actuellement, il y a encore quelques éléments résiduels ne dépassant pas 50 hommes qui sont éparpillés et en errance dans le parc national de la Garamba et qui font des attaques surprises dans des localités de la province Orientale. nous continuons à les traquer", a expliqué le général Jean-Claude Kifwa. La semaine dernière, huit militaires et huit civils ont été abattus lors des exactions des rebelles ougandais de la LRA dans quelques localités du territoire de Dungu, à 780 km au nord-est de Kisangani, a rapporté la Radio Okapi, la station de MONUC.
Selon cette radio, les attaques ont été perpétrées du 11 au 14 mars dans les localités de Bangadi, Duru et Doruma, Selon le président de la société civile de Dungu, le 14 mars, 2 militaires FARDC en patrouille ainsi qu'une femme du village de Badoro ont été abattus par des éléments de la LRA en quête de nourriture.
Cependant, un jour avant cette attaque, 5 autres personnes ont été enlevées dans le groupement de Nambia. Ces personnes appartenaient à une même famille. Trois d'entre elles ont été tuées quelque temps après leur enlèvement.
Le 12 mars, affirme la même source, une embuscade tendue aux FARDC à Limbidia s'est soldée par la mort de 2 éléments FARDC.
Le même jour, dans le village de Ndorenzi, dans la province Orientale, deux éléments des FARDC et un civil, embarqués tous sur une même moto, ont été tués. A Madudu, toujours dans la province Orientale, 3 civils ont péri sous les coups de la LRA dans leur champ, précise le président de la société civile de Dungu.
Un combattant de bataillon et son garde du corps ont été tués le même jour à Banangbala pendant qu'ils contrôlaient les positions de leurs troupes, conclut la même source.
"La société civile locale et l'administrateur intérimaire de Dungu ont exprimé leurs inquiétudes du fait que ce sont des personnes sensées protéger les civils qui sont tuées au cours de ces attaques.", a conclu Radio Okapi.