"Nous estimons qu'il est grand temps de trouver une solution réaliste et acceptable par toutes les parties, dans le cadre des Nations unies", a déclaré le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères et européennes dans un point de presse.
Il a rappelé qu'en adoptant à l'unanimité la Résolution 1813 en avril dernier, le Conseil de Sécurité avait demandé aux parties de "poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général des Nations unies, sans conditions préalables et de bonne foi".
Le Conseil de sécurité avait également appelé "les parties au réalisme et à l'esprit de compromis pour permettre aux négociations d'entrer dans une phase intensive et substantielle", a-t-il ajouté, faisant remarquer que "la persistance d'un blocage n'est dans l'intérêt de personne".
"Nous soutenons le processus engagé à Manhasset pour trouver une issue politique négociée entre les parties" à la question du Sahara, a réitéré le porte-parole adjoint du Quai d'Orsay.
Il a rappelé qu'en adoptant à l'unanimité la Résolution 1813 en avril dernier, le Conseil de Sécurité avait demandé aux parties de "poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire général des Nations unies, sans conditions préalables et de bonne foi".
Le Conseil de sécurité avait également appelé "les parties au réalisme et à l'esprit de compromis pour permettre aux négociations d'entrer dans une phase intensive et substantielle", a-t-il ajouté, faisant remarquer que "la persistance d'un blocage n'est dans l'intérêt de personne".
"Nous soutenons le processus engagé à Manhasset pour trouver une issue politique négociée entre les parties" à la question du Sahara, a réitéré le porte-parole adjoint du Quai d'Orsay.