L’objectif de cet atelier est d’inculquer la culture du dialogue et de la concertation aux citoyens centrafricains pour la recherche de toute solution à un conflit et pour la cohésion sociale.
Selon le Président de la République Faustin Archange Touadéra, l’organisation de cet atelier qui vient de la volonté du Conseil national de médiation traduit les principales priorités du moment de sa politique parmi lesquelles, le rétablissement de la paix, la sécurité et la promotion des droits de l’Homme.
Le chef de l’Etat a rappelé aux participants que sans la paix, le pays ne peut être construit ou transformé. Tout effort de développement doit être axé sur la paix, la sécurité et la cohésion sociale.
« C’est fort de cet engagement que depuis mon accession à la magistrature suprême de l’Etat en 2016, j’ai fait de la paix et du dialogue la cheville ouvrière de mes actions », a déclaré le Président de la République.
Selon lui, c’est cette vision qui a guidé l’adoption de la feuille de route conjointe de Luanda du 16 septembre 2021, expliquant qu’à l’occasion de son discours d’investiture du 30 mars 2021, il a toujours réaffirmé que la guerre qui a été imposée aux centrafricains n’est pas son option ni de son gouvernement.
Pour le Médiateur de la République, Laurent Ngon-Baba, cet atelier est une opportunité pour examiner les maux qui provoquent les conflits en Centrafrique et une occasion pour proposer des idées, afin de minimiser le développement des conflits entre les citoyens.
« C’est pour cette raison que nous avons mobilisé toutes les couches sociopolitiques de la République Centrafricaine afin de bien définir des solutions pouvant réduire au maximum les causes des différents conflits », a-t-il déclaré.
Il a profité de cette occasion pour encourager les participants à poursuivre les efforts de sensibilisation sur la préservation de la paix en multipliant les activités vers un changement de mentalité des centrafricains en vue de faciliter la cohésion sociale et la quiétude dans chaque endroit de la République Centrafricaine.
Rappelons que cet atelier de deux jours est financé par le gouvernement en partenariat avec la MINUSCA.
Selon le Président de la République Faustin Archange Touadéra, l’organisation de cet atelier qui vient de la volonté du Conseil national de médiation traduit les principales priorités du moment de sa politique parmi lesquelles, le rétablissement de la paix, la sécurité et la promotion des droits de l’Homme.
Le chef de l’Etat a rappelé aux participants que sans la paix, le pays ne peut être construit ou transformé. Tout effort de développement doit être axé sur la paix, la sécurité et la cohésion sociale.
« C’est fort de cet engagement que depuis mon accession à la magistrature suprême de l’Etat en 2016, j’ai fait de la paix et du dialogue la cheville ouvrière de mes actions », a déclaré le Président de la République.
Selon lui, c’est cette vision qui a guidé l’adoption de la feuille de route conjointe de Luanda du 16 septembre 2021, expliquant qu’à l’occasion de son discours d’investiture du 30 mars 2021, il a toujours réaffirmé que la guerre qui a été imposée aux centrafricains n’est pas son option ni de son gouvernement.
Pour le Médiateur de la République, Laurent Ngon-Baba, cet atelier est une opportunité pour examiner les maux qui provoquent les conflits en Centrafrique et une occasion pour proposer des idées, afin de minimiser le développement des conflits entre les citoyens.
« C’est pour cette raison que nous avons mobilisé toutes les couches sociopolitiques de la République Centrafricaine afin de bien définir des solutions pouvant réduire au maximum les causes des différents conflits », a-t-il déclaré.
Il a profité de cette occasion pour encourager les participants à poursuivre les efforts de sensibilisation sur la préservation de la paix en multipliant les activités vers un changement de mentalité des centrafricains en vue de faciliter la cohésion sociale et la quiétude dans chaque endroit de la République Centrafricaine.
Rappelons que cet atelier de deux jours est financé par le gouvernement en partenariat avec la MINUSCA.