L’objectif est de renforcer les fondements de la dynamique de la société civile de l’Afrique centrale sur les Armes Légères et de Petit Calibre (ALPC), d’analyser et de débattre les parcours du RASALAC depuis sa formation, de mener des discussions sur la mobilisation des ressources internes par le fonctionnement du réseau et de contribuer à l’amélioration du plan stratégique d’action de RASALAC.
Environ une cinquantaine de participants venus de quelques pays de la communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de l’Union Européenne vont examiner, amender et d’adopter les documents de base du RASALAC.
Au cours de cette assise les participants suivront des différentes communications, sur l’analyse de contexte sécuritaire en Afrique centrale et les priorités de la CEEAC par rapport aux ALPC et la stratégie d’action de lutte contre les ALPC par les organisations de la société civile de l’Afrique centrale.
Le président du RASALAC Mouldjidé Ngar-Yngam a sollicité l’appui du gouvernement de soutenir la demande formulée de la société civile à la réunion ministérielle des Etats de la Communauté Economique des Etas de l’Afrique Centrale et le Comité Consultatif Permanent des Nations Unies chargé des questions de Sécurité en Afrique Centrale (UNSAC).
Le ministre Josué Binoua a indiqué que le réseau s’inscrit ainsi dans la restauration de la sécurité dans notre sous région, facteur déterminant pour le développement.
Il a relevé que depuis plus d’une dizaine d’années, la sous-région de l’Afrique centrale a été et est encore secouée par des conflits de formes diverses qui ont fondamentalement altéré les conditions de vie des populations des pays concernés, sapant les fondements leurs projets de développement et créant les conditions d’une insécurité difficile à juguler.
Le ministre Josué Binoua a expliqué que « les conflits décriés sont le lit de l’insécurité, entretenue par l’exode des populations vers les centres urbains, le phénomène des déplacés internes, la circulation des armes légères et de petit calibre. ».
Il est à noter que le RASALAC est un réseau sous régional qui sert de forum pour l’échange d’information, d’expériences et des stratégies en vue de lutter contre la prolifération des armes légères et de petit calibre.
Environ une cinquantaine de participants venus de quelques pays de la communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de l’Union Européenne vont examiner, amender et d’adopter les documents de base du RASALAC.
Au cours de cette assise les participants suivront des différentes communications, sur l’analyse de contexte sécuritaire en Afrique centrale et les priorités de la CEEAC par rapport aux ALPC et la stratégie d’action de lutte contre les ALPC par les organisations de la société civile de l’Afrique centrale.
Le président du RASALAC Mouldjidé Ngar-Yngam a sollicité l’appui du gouvernement de soutenir la demande formulée de la société civile à la réunion ministérielle des Etats de la Communauté Economique des Etas de l’Afrique Centrale et le Comité Consultatif Permanent des Nations Unies chargé des questions de Sécurité en Afrique Centrale (UNSAC).
Le ministre Josué Binoua a indiqué que le réseau s’inscrit ainsi dans la restauration de la sécurité dans notre sous région, facteur déterminant pour le développement.
Il a relevé que depuis plus d’une dizaine d’années, la sous-région de l’Afrique centrale a été et est encore secouée par des conflits de formes diverses qui ont fondamentalement altéré les conditions de vie des populations des pays concernés, sapant les fondements leurs projets de développement et créant les conditions d’une insécurité difficile à juguler.
Le ministre Josué Binoua a expliqué que « les conflits décriés sont le lit de l’insécurité, entretenue par l’exode des populations vers les centres urbains, le phénomène des déplacés internes, la circulation des armes légères et de petit calibre. ».
Il est à noter que le RASALAC est un réseau sous régional qui sert de forum pour l’échange d’information, d’expériences et des stratégies en vue de lutter contre la prolifération des armes légères et de petit calibre.