Le but de cette table ronde organisée à l'initiative de National Democratic Institute (NDI), en collaboration avec Radio Ndeke Luka, l'Observatoire National des Elections (ONE), EISA, l'Association des radios communautaires et l'Agence des Etats-Unis d'Amérique pour le Développement International (USAID), est d'évaluer le processus électoral qui vient de s'achever afin de tirer les leçons et formuler des recommandations utiles pour les prochaines élections en République Centrafricaine.
Du 18 au 19 avril, les participants ont été édifiés sur les questions suivantes : "les rôles et responsabilités des acteurs politiques dans l'organisation des élections transparentes, inclusives et apaisées ; la problématique des organes chargés de l'organisation et de la supervision des élections en Afrique ; les moyens d'actions de la société civile pour la consolidation de la démocratie ; l'observation électorale : enjeux et défis, enfin, la participation citoyenne au processus électoral en RCA : acquis et perspectives".
Le Directeur résident du NDI en Centrafrique, Arsène T. Gbaguidi, l'Ambassadeur des Etats-Unis en Centrafrique, Lawrence D. Wohlers et le Représentant du Ministre d'Etat de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation, Bernard Kpongaba, ont relevé que cette table ronde ne doit pas se transformer en tribune de procès, mais en un cadre d'échanges fructueux.
Les objectifs de table ronde ont été définis par Arsène T. Gbaguidi comme étant non pas "une tribune de procès, une prétention de l'évaluation globale et technique du processus électoral" mais un cadre devant aider "les différents acteurs impliqués dans le processus électoral à apprécier, à échanger, à voir plus clair et à s'entendre sur les grandes questions concernant le devenir du processus électoral".
Toujours selon lui, cette table ronde "permettra également de dégager des schémas possibles de discussion entre les acteurs sociopolitiques ; à identifier les obstacles, à chercher les points de convergence pour l'avancement de la démocratie, la paix et le développement".
Enfin, il a soutenu que pendant les derniers scrutins, "les différentes phases d'observation du processus électoral ont permis à l'ONE et à EISA de relever des dysfonctionnements, des irrégularités, des défaillances et certaines faiblesses contenues", au regard du Code électoral.
De son côté, la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unis en Centrafrique, Sahlé Work Zéwdé, a précisé qu'une table ronde post-électorale est un exercice important qui doit se faire sans passion.
Loin de ce qu'une élection devrait se limiter à la campagne électorale, Sahlé Work Zéwdé a ajouté que les élections se préparent dans la durée. Raison pour laquelle elle a appelé les Centrafricains à préparer les prochaines élections dès à présent.
Notons que depuis plus de 25 ans, NDI a fait ses preuves dans plus de 70 pays.
Du 18 au 19 avril, les participants ont été édifiés sur les questions suivantes : "les rôles et responsabilités des acteurs politiques dans l'organisation des élections transparentes, inclusives et apaisées ; la problématique des organes chargés de l'organisation et de la supervision des élections en Afrique ; les moyens d'actions de la société civile pour la consolidation de la démocratie ; l'observation électorale : enjeux et défis, enfin, la participation citoyenne au processus électoral en RCA : acquis et perspectives".
Le Directeur résident du NDI en Centrafrique, Arsène T. Gbaguidi, l'Ambassadeur des Etats-Unis en Centrafrique, Lawrence D. Wohlers et le Représentant du Ministre d'Etat de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation, Bernard Kpongaba, ont relevé que cette table ronde ne doit pas se transformer en tribune de procès, mais en un cadre d'échanges fructueux.
Les objectifs de table ronde ont été définis par Arsène T. Gbaguidi comme étant non pas "une tribune de procès, une prétention de l'évaluation globale et technique du processus électoral" mais un cadre devant aider "les différents acteurs impliqués dans le processus électoral à apprécier, à échanger, à voir plus clair et à s'entendre sur les grandes questions concernant le devenir du processus électoral".
Toujours selon lui, cette table ronde "permettra également de dégager des schémas possibles de discussion entre les acteurs sociopolitiques ; à identifier les obstacles, à chercher les points de convergence pour l'avancement de la démocratie, la paix et le développement".
Enfin, il a soutenu que pendant les derniers scrutins, "les différentes phases d'observation du processus électoral ont permis à l'ONE et à EISA de relever des dysfonctionnements, des irrégularités, des défaillances et certaines faiblesses contenues", au regard du Code électoral.
De son côté, la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unis en Centrafrique, Sahlé Work Zéwdé, a précisé qu'une table ronde post-électorale est un exercice important qui doit se faire sans passion.
Loin de ce qu'une élection devrait se limiter à la campagne électorale, Sahlé Work Zéwdé a ajouté que les élections se préparent dans la durée. Raison pour laquelle elle a appelé les Centrafricains à préparer les prochaines élections dès à présent.
Notons que depuis plus de 25 ans, NDI a fait ses preuves dans plus de 70 pays.