Organisé par le ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation, avec un apport technique et financier du Bureau Intégré des Nations Unies en centrafricaine (Binuca) et le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), cet atelier a regroupé les institutions et organes de l’Etat, des acteurs politiques, ceux de la Société Civile, les observateurs des élections et les membres de la Commission Electorale Indépendante (CEI) ainsi que ceux de la Cour Constitutionnelle.
Au cours des travaux, les participants suivront des exposés sur les ‘’insuffisances et faiblesses du Code électoral’’ ; ‘’la restitution de la mission d’études du ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation sur les structures de gestion des élections’’.
Le Premier ministre Faustin Archange Touadéra a attiré l’attention des participants sur les enjeux qui sous tendent l’élaboration d’un bon Code Electoral en vue des élections apaisées qui sont facteurs de paix, de confiance réciproque et de développement économique et social. Car, a-t-il expliqué il est temps de finir avec des situations dommageables pour la démocratie, voir pour notre pays qui sont les élections régulièrement contestées.
« Ce Code Electoral continuera à renforcer les valeurs fondamentales dont notre pays à besoin pour asseoir sa jeune démocratie », a-t-il conclu.
La Représentante Spéciale du Secrétaire Général, Mme Margaret Vogt s’est réjouie de ce que le gouvernement, les partis politiques et la société civile aient pu comprendre la nécessité de cette démarche. De nombreuses avancées démocratiques historiques et la mise en place d’institutions fortes et légitimes dans les pays africains sont survenues au moyen de concertations entre les acteurs politiques et sociaux concernés.
Pour sa réussite, a-t-elle indiqué le processus enclenché aujourd’hui en République Centrafricaine, doit être mené de manière participative et constructive.
Enfin, Mme Margaret Vogt a exhorté les participants à saisir cette opportunité pour poser les jalons d’un jeu démocratique.
Au cours des travaux, les participants suivront des exposés sur les ‘’insuffisances et faiblesses du Code électoral’’ ; ‘’la restitution de la mission d’études du ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation sur les structures de gestion des élections’’.
Le Premier ministre Faustin Archange Touadéra a attiré l’attention des participants sur les enjeux qui sous tendent l’élaboration d’un bon Code Electoral en vue des élections apaisées qui sont facteurs de paix, de confiance réciproque et de développement économique et social. Car, a-t-il expliqué il est temps de finir avec des situations dommageables pour la démocratie, voir pour notre pays qui sont les élections régulièrement contestées.
« Ce Code Electoral continuera à renforcer les valeurs fondamentales dont notre pays à besoin pour asseoir sa jeune démocratie », a-t-il conclu.
La Représentante Spéciale du Secrétaire Général, Mme Margaret Vogt s’est réjouie de ce que le gouvernement, les partis politiques et la société civile aient pu comprendre la nécessité de cette démarche. De nombreuses avancées démocratiques historiques et la mise en place d’institutions fortes et légitimes dans les pays africains sont survenues au moyen de concertations entre les acteurs politiques et sociaux concernés.
Pour sa réussite, a-t-elle indiqué le processus enclenché aujourd’hui en République Centrafricaine, doit être mené de manière participative et constructive.
Enfin, Mme Margaret Vogt a exhorté les participants à saisir cette opportunité pour poser les jalons d’un jeu démocratique.