L’objectif de cet atelier est d’impliquer les responsables des services du département au processus de relecture du code minier, et présenter les points pertinents de l’avant–projet dudit code.
Le Ministre des Mines et de la Géologie, Rufin Bénam- Beltoungou a indiqué qu’après douze (12) années d’expérimentation de la loi n° 09.005 du 28 avril 2009, portant Code minier de la République Centrafricaine, les faiblesses sur les questions de gouvernance du secteur minier ont été relevé, affectant ainsi son attraction par les exploitants miniers.
« En 2017, sur instruction du Président de la République, Faustin Archange Touadéra, le gouvernement avait entamé des travaux de relecture du Code minier, et grâce à l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), une étude avait été menée pour recueillir les pratiques qui ne sont pas prévues par ce code et qui ne sont pas conformes aux dispositions internationales », a rappelé le ministre des Mines et de la Géologie.
Selon Rufin Bénam- Beltoungou, au cours de ces travaux, le code minier de 2009 a été relu, et soumis en ateliers sectoriels régional et national, impliquant les opérateurs du secteur, les organisations de la société civile et les autres ministères impliqués.
Il a indiqué que c’est dans ce contexte que le comité chargé de relecture entend organiser un atelier interne en vue de recueillir l’avis de l’ensemble des cadres du département des Mines et de la Géologie, avant la remise du projet du code minier au Ministère en charge des Mines et de la Géologie.
Rappelons que cet atelier d’une journée, a mobilisé les membres du cabinet du Ministère des Mines et de la Géologie, les membres du comité de la relecture, les inspecteurs centraux, les Directeurs généraux des services centraux et des organisations sous-tutelle.
Le Ministre des Mines et de la Géologie, Rufin Bénam- Beltoungou a indiqué qu’après douze (12) années d’expérimentation de la loi n° 09.005 du 28 avril 2009, portant Code minier de la République Centrafricaine, les faiblesses sur les questions de gouvernance du secteur minier ont été relevé, affectant ainsi son attraction par les exploitants miniers.
« En 2017, sur instruction du Président de la République, Faustin Archange Touadéra, le gouvernement avait entamé des travaux de relecture du Code minier, et grâce à l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), une étude avait été menée pour recueillir les pratiques qui ne sont pas prévues par ce code et qui ne sont pas conformes aux dispositions internationales », a rappelé le ministre des Mines et de la Géologie.
Selon Rufin Bénam- Beltoungou, au cours de ces travaux, le code minier de 2009 a été relu, et soumis en ateliers sectoriels régional et national, impliquant les opérateurs du secteur, les organisations de la société civile et les autres ministères impliqués.
Il a indiqué que c’est dans ce contexte que le comité chargé de relecture entend organiser un atelier interne en vue de recueillir l’avis de l’ensemble des cadres du département des Mines et de la Géologie, avant la remise du projet du code minier au Ministère en charge des Mines et de la Géologie.
Rappelons que cet atelier d’une journée, a mobilisé les membres du cabinet du Ministère des Mines et de la Géologie, les membres du comité de la relecture, les inspecteurs centraux, les Directeurs généraux des services centraux et des organisations sous-tutelle.