L’objectif recherché est de poursuivre la transformation du Fonds de Solidarité Africaine en une institution internationale de premier rang sur le continent africain, de renforcer la capacité du Fonds à prendre en charge les exigences des parties intéressées en soutenant la création de valeurs et d’emplois productifs en appui aux Etats membres et aux secteurs privés.
Joseph Marie Tchissikombré a indiqué que Le Fonds de Solidarité Africaine a pour mission de contribuer au développement économique et au progrès social de ses Etats membres africains en facilitant à travers ses différentes techniques d’intervention.
Selon lui, le secteur privé occupe une place de choix dans la création de richesse nationale car aucune économie ne saurait émerger sans un secteur privé dynamique, enfin un projet d’investissement ne saurait se réaliser sans le concours d’un établissement financier.
Il a ajouté que le Thème retenu dans le cadre de ce forum vient à point nommé car les résultats de ce forum feront l’objet d’un suivi particulier.
Le chef de mission Ahamadou Sidibé Abdoulahi a déclaré quant à lui que cette rencontre permettra aux participants d’échanger sur le financement de l’économie de la République Centrafricaine regroupant d’une part, les acteurs du secteur bancaire et financier et d’autres part les entrepreneurs, les industries, les commerçants et autres acteurs majeurs de l’accompagnement de PMU/PME et de la promotion du secteur privé.
« La création du Fonds de solidarité Africaine est une décision des chefs des états africains prise à Bangui en mars 1975, le FSA est devenu opérationnel en septembre 1979 et son siège est à Niamey au Niger » a conclu Ahamadou Sidibé Abdoulahi.
Rappelons que le Fonds de Solidarité Africain est composé des Etats suivants : le Niger, le Centrafrique, le Tchad, la Guinée équatoriale, la Guinée Bissau, le Mali, le Togo, le Sénégal, la Côte d’ivoire, le Benin, le Burundi, le Burkina, le Rwanda, le Gabon, le Mali et l’île Maurice.
Joseph Marie Tchissikombré a indiqué que Le Fonds de Solidarité Africaine a pour mission de contribuer au développement économique et au progrès social de ses Etats membres africains en facilitant à travers ses différentes techniques d’intervention.
Selon lui, le secteur privé occupe une place de choix dans la création de richesse nationale car aucune économie ne saurait émerger sans un secteur privé dynamique, enfin un projet d’investissement ne saurait se réaliser sans le concours d’un établissement financier.
Il a ajouté que le Thème retenu dans le cadre de ce forum vient à point nommé car les résultats de ce forum feront l’objet d’un suivi particulier.
Le chef de mission Ahamadou Sidibé Abdoulahi a déclaré quant à lui que cette rencontre permettra aux participants d’échanger sur le financement de l’économie de la République Centrafricaine regroupant d’une part, les acteurs du secteur bancaire et financier et d’autres part les entrepreneurs, les industries, les commerçants et autres acteurs majeurs de l’accompagnement de PMU/PME et de la promotion du secteur privé.
« La création du Fonds de solidarité Africaine est une décision des chefs des états africains prise à Bangui en mars 1975, le FSA est devenu opérationnel en septembre 1979 et son siège est à Niamey au Niger » a conclu Ahamadou Sidibé Abdoulahi.
Rappelons que le Fonds de Solidarité Africain est composé des Etats suivants : le Niger, le Centrafrique, le Tchad, la Guinée équatoriale, la Guinée Bissau, le Mali, le Togo, le Sénégal, la Côte d’ivoire, le Benin, le Burundi, le Burkina, le Rwanda, le Gabon, le Mali et l’île Maurice.