Le ministre d'Etat pour la défense Ruth Nankabirwa a affirmé à Xinhua que les leaders des reblles, s'ils sont capturés, ne seraient envoyés au TPI qui les accusent d'atrocités commises dans le norde l'Ouganda.
Joseph Kony, chef de la LRA, ainsi que trois autres leaders du mouvement rebelle sont face à chefs d'accusation incluant les meutres, les viols, le recrutement forcé d'enfants-soldats et les enlèvements.
"Si Kony est capturé dans l'offensive militaire conjointe en cours à Garamba, en RDCongo, nous n'allons pas le remettre au TPI. Nous le ferons juger à Kampala par la cour spéciale pour les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, qui vient d'être créée", a déclaré Mme Nankabirwa .
Sur la demande posée en 2003 par le gouvernement ougandais, le TPI a lancé le mandat d'arrêt contre les leaders de la LRA.
"Nous nous sommes adressés au TPI car Kony n'était pas dans notre territoire", a expliqué la ministre d'Etat oguandaise.
Dimanche dernier, les troupes de l'Ouganda, de la République démocratique du Congo (RDC) et du Sud-Soudan ont lancé une offensive sur le lieu de refuge de la LRA dans les forêts de la Garamba, dans le nord de la RDC.
Le gouvernement ougandais a indiqué que cette opération avait pour but de pousser la LRA à signer l'accord de paix.
"Nos troupes sur le terrain pourchasse Kony. Nous n'allons pas arrêter l'opération avant que Kony ne signe l'accord de paix", a déclaré Mme Nankabirwa.
Bien que les négociateurs du gouvernement et de la LRA ait mis au point un projet d'accord de paix, suite à de longs pourparlers commencés en 2006, Kony a refusé à trois reprises de se présenter pour le signer. Le dernier rendez-vous était fixé au 1er décembre.
Joseph Kony, chef de la LRA, ainsi que trois autres leaders du mouvement rebelle sont face à chefs d'accusation incluant les meutres, les viols, le recrutement forcé d'enfants-soldats et les enlèvements.
"Si Kony est capturé dans l'offensive militaire conjointe en cours à Garamba, en RDCongo, nous n'allons pas le remettre au TPI. Nous le ferons juger à Kampala par la cour spéciale pour les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, qui vient d'être créée", a déclaré Mme Nankabirwa .
Sur la demande posée en 2003 par le gouvernement ougandais, le TPI a lancé le mandat d'arrêt contre les leaders de la LRA.
"Nous nous sommes adressés au TPI car Kony n'était pas dans notre territoire", a expliqué la ministre d'Etat oguandaise.
Dimanche dernier, les troupes de l'Ouganda, de la République démocratique du Congo (RDC) et du Sud-Soudan ont lancé une offensive sur le lieu de refuge de la LRA dans les forêts de la Garamba, dans le nord de la RDC.
Le gouvernement ougandais a indiqué que cette opération avait pour but de pousser la LRA à signer l'accord de paix.
"Nos troupes sur le terrain pourchasse Kony. Nous n'allons pas arrêter l'opération avant que Kony ne signe l'accord de paix", a déclaré Mme Nankabirwa.
Bien que les négociateurs du gouvernement et de la LRA ait mis au point un projet d'accord de paix, suite à de longs pourparlers commencés en 2006, Kony a refusé à trois reprises de se présenter pour le signer. Le dernier rendez-vous était fixé au 1er décembre.