L’enjeu de cette activité est de conscientiser et sensibiliser la population centrafricaine sur la nécessité de retourner à la culture d'origine car un homme qui ignore sa culture est comme un arbre sans racines, a indiqué Zita Rodegonde Selehina.
Pour elle, les crises à répétition qu’a connues la République Centrafricaine ont impacté négativement sur son économie et par conséquent ont réduit drastiquement ses investissements publics et privés avec comme corollaire l’absence de progrès dans les indicateurs sociaux.
En effet, a-t-elle insisté, cette situation a été exacerbée par un délaissement du patrimoine matériel et immatériel. Pourtant, a-t-elle poursuivi, « tous les éléments du patrimoine matériels et immatériels regroupent en même temps le savoir, le savoir-faire et le savoir -être propre à la société centrafricaine.
« La notion du savoir qui est la connaissance de nos ancêtres doit être transmise de génération en génération, le savoir-faire nous permet de mettre ces connaissances en pratique pour fabriquer certains objets et mettre sur le marché afin de gagner de l’argent au lieu de prendre des armes pour détruire notre pays et le savoir-être qui est la manière dont nos ancêtres résolvaient leurs conflits à l’époque sous l’arbre à palabre par le dialogue et non par les armes », a-t-elle expliqué.
Eu égard à cette situation, nous avons élaboré un projet relatif à la conservation et à la promotion de nos patrimoines culturels et écrit un poème sur la nécessité de retourner à la case du départ pour la résolution de nos différends..
Il faut noter que cette conférence débat est suivie d’un spectacle et d'une exposition d'objets d’art des peuples autochtones, notamment les pygmés Aka et Bayaka.
Ces objets sont composés entres autres d'armelettes, de la hache, la nasse, les paniers des calebasses, les assiettes.
Elle a justifié son choix sur les pygmées parce qu'elle estime que les peuples autochtones n’ont pas contribué sur le plan politique à la destruction de la République Centrafricaine.
« J’ai utilisé comme stratégie la culture Aka parce que les Aka conservent encore le savoir, le savoir-faire et le savoir-être traditionnels et les autres ethnies ont abandonné leurs patrimoine immatériel », a-t-elle conclu.
Pour elle, les crises à répétition qu’a connues la République Centrafricaine ont impacté négativement sur son économie et par conséquent ont réduit drastiquement ses investissements publics et privés avec comme corollaire l’absence de progrès dans les indicateurs sociaux.
En effet, a-t-elle insisté, cette situation a été exacerbée par un délaissement du patrimoine matériel et immatériel. Pourtant, a-t-elle poursuivi, « tous les éléments du patrimoine matériels et immatériels regroupent en même temps le savoir, le savoir-faire et le savoir -être propre à la société centrafricaine.
« La notion du savoir qui est la connaissance de nos ancêtres doit être transmise de génération en génération, le savoir-faire nous permet de mettre ces connaissances en pratique pour fabriquer certains objets et mettre sur le marché afin de gagner de l’argent au lieu de prendre des armes pour détruire notre pays et le savoir-être qui est la manière dont nos ancêtres résolvaient leurs conflits à l’époque sous l’arbre à palabre par le dialogue et non par les armes », a-t-elle expliqué.
Eu égard à cette situation, nous avons élaboré un projet relatif à la conservation et à la promotion de nos patrimoines culturels et écrit un poème sur la nécessité de retourner à la case du départ pour la résolution de nos différends..
Il faut noter que cette conférence débat est suivie d’un spectacle et d'une exposition d'objets d’art des peuples autochtones, notamment les pygmés Aka et Bayaka.
Ces objets sont composés entres autres d'armelettes, de la hache, la nasse, les paniers des calebasses, les assiettes.
Elle a justifié son choix sur les pygmées parce qu'elle estime que les peuples autochtones n’ont pas contribué sur le plan politique à la destruction de la République Centrafricaine.
« J’ai utilisé comme stratégie la culture Aka parce que les Aka conservent encore le savoir, le savoir-faire et le savoir-être traditionnels et les autres ethnies ont abandonné leurs patrimoine immatériel », a-t-elle conclu.