Teint clair, mesurant 1,70m et pesant 55kg, Miss Centrafrique 2008, qui réside dans le 3ème arrondissement de Bangui, a obtenu les faveurs des 7 membres du jury, présidé par Mme Catherine Samba-Panza, ex-présidente du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National, face à 23 autres candidates venues de tout le pays.
Mariette Gappa recevra, en prime, un véhicule neuf et un billet d’avion aller-retour Bangui-Paris ainsi qu’une bourse d’études d’un an, plus une somme de 100.000.FCFA par mois durant un an, le tout offert par la société de téléphonie mobile (Moov), sponsor officiel de la manifestation.
Etudiante à la faculté des sciences de l'université de Bangui, la 1ère Dauphine, Mlle John Mbombo Charline, venant du 2ème arrondissement de Bangui, effectuera des déplacements dans la sous région à la charge de la compagnie Air France et disposera de coupons de rechargement de téléphone portable à hauteur de 75.000 par mois pendant une année.
Quant à Nadine Koitan, la 2ème dauphine, également étudiante à l’Université de Bangui et demeurant au 1er arrondissement de Bangui, elle a droit à une bourse d’études et à 50.000 FCFA de coupons de rechargement de Moov par mois durant un an.
Intérrogée par l'ACAP après l'annonce des résultats, Mariette a affirmé qu'elle ne s'attendais pas à ce succès et s’est dit très, très contente d’être élue Miss Centrafrique, appelée à être l’ambassadrice de la République Centrafricaine sur le plan mondial.
«Ma vie ce sont mes études », a encore déclaré Miss Centrafrique, qui a également promis oeuvrer pour le bien-être social, ajoutant qu’au début, ses parents étaient réticents quant à sa participation au concours.
Ce concours est organisé par le Comité d’organisation du Concours Miss Centrafrique (COMICA), en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture, de quelques opérateurs économiques de la place et de deux centrafricaines de la diaspora, à savoir Sophie Ducas, 1ère dauphine de miss France et de Mlle Christelle Koko, mannequin résidant aux Etas-Unis.
Pour être admise à ce concours, dont les éliminatoires ont démarré depuis janvier 2008, la candidate doit être âgée de 18 à 25 ans, mesurer 1,70m au moins et avoir un bon niveau d'instruction.
La finale du concours comportait 4 épreuves, à savoir un passage en tenue de la ville, un deuxième en tenue de vérité qui permet de bien cerner la beauté corporelle, un troisième étant réservé à la danse traditionnelle, et la dernière épreuve consistant en un jeu de questions réponses pour jauger le niveau intellectuel de la participante.
« a cœur vaillant, rien n’est impossible », Selon M. Désiré Kolingba, qui a loué l’initiative du comité d’organisation, en l’assurant du soutient du gouvernement pour la mise en place d’un plan préparatoire de suivi des miss de l’arrière-pays pour le prochain concours prévu pour l’an 2009.
Dans son allocution, Mme Pagonendji Ndakala, a rappelé le dernier concours de l’année 1989, dont la lauréate fut la défunte Congossienne, et déploré que depuis lors, le Centrafricain soit resté sur sa faim, avant d'ajouter que « pour toutes les régions sans distinction celle qui sera élue représentera le symbole de l’unité et de la cohésion pour la République centrafricaine.»
Emue, Mme Félicité Kho, la présidente du (COMICA), s’est réjouie du succès de cette élection, affirmant que «la Centrafricaine ne détient pas seulement la beauté physique, mais également la beauté intellectuelle", ajoutant qu’elle a la mission de promouvoir la beauté naturelle de la femme centrafricaine sur le plan national et international.
Il convient de noter que la première partie de cette grande soirée a vu se produire le chanteur congolais Awilo Lougomba, la chanteuse Barbara Komassi, également du Congo, et les jeunes rappers centrafricains Kota Ngbanga,et Ngando.
Parmi les invités de marque à cette soirée, il convient de retenir Yves Dembela, le président du comité d’organisation du concours des miss de l’Afrique centrale.
Mariette Gappa recevra, en prime, un véhicule neuf et un billet d’avion aller-retour Bangui-Paris ainsi qu’une bourse d’études d’un an, plus une somme de 100.000.FCFA par mois durant un an, le tout offert par la société de téléphonie mobile (Moov), sponsor officiel de la manifestation.
Etudiante à la faculté des sciences de l'université de Bangui, la 1ère Dauphine, Mlle John Mbombo Charline, venant du 2ème arrondissement de Bangui, effectuera des déplacements dans la sous région à la charge de la compagnie Air France et disposera de coupons de rechargement de téléphone portable à hauteur de 75.000 par mois pendant une année.
Quant à Nadine Koitan, la 2ème dauphine, également étudiante à l’Université de Bangui et demeurant au 1er arrondissement de Bangui, elle a droit à une bourse d’études et à 50.000 FCFA de coupons de rechargement de Moov par mois durant un an.
Intérrogée par l'ACAP après l'annonce des résultats, Mariette a affirmé qu'elle ne s'attendais pas à ce succès et s’est dit très, très contente d’être élue Miss Centrafrique, appelée à être l’ambassadrice de la République Centrafricaine sur le plan mondial.
«Ma vie ce sont mes études », a encore déclaré Miss Centrafrique, qui a également promis oeuvrer pour le bien-être social, ajoutant qu’au début, ses parents étaient réticents quant à sa participation au concours.
Ce concours est organisé par le Comité d’organisation du Concours Miss Centrafrique (COMICA), en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture, de quelques opérateurs économiques de la place et de deux centrafricaines de la diaspora, à savoir Sophie Ducas, 1ère dauphine de miss France et de Mlle Christelle Koko, mannequin résidant aux Etas-Unis.
Pour être admise à ce concours, dont les éliminatoires ont démarré depuis janvier 2008, la candidate doit être âgée de 18 à 25 ans, mesurer 1,70m au moins et avoir un bon niveau d'instruction.
La finale du concours comportait 4 épreuves, à savoir un passage en tenue de la ville, un deuxième en tenue de vérité qui permet de bien cerner la beauté corporelle, un troisième étant réservé à la danse traditionnelle, et la dernière épreuve consistant en un jeu de questions réponses pour jauger le niveau intellectuel de la participante.
« a cœur vaillant, rien n’est impossible », Selon M. Désiré Kolingba, qui a loué l’initiative du comité d’organisation, en l’assurant du soutient du gouvernement pour la mise en place d’un plan préparatoire de suivi des miss de l’arrière-pays pour le prochain concours prévu pour l’an 2009.
Dans son allocution, Mme Pagonendji Ndakala, a rappelé le dernier concours de l’année 1989, dont la lauréate fut la défunte Congossienne, et déploré que depuis lors, le Centrafricain soit resté sur sa faim, avant d'ajouter que « pour toutes les régions sans distinction celle qui sera élue représentera le symbole de l’unité et de la cohésion pour la République centrafricaine.»
Emue, Mme Félicité Kho, la présidente du (COMICA), s’est réjouie du succès de cette élection, affirmant que «la Centrafricaine ne détient pas seulement la beauté physique, mais également la beauté intellectuelle", ajoutant qu’elle a la mission de promouvoir la beauté naturelle de la femme centrafricaine sur le plan national et international.
Il convient de noter que la première partie de cette grande soirée a vu se produire le chanteur congolais Awilo Lougomba, la chanteuse Barbara Komassi, également du Congo, et les jeunes rappers centrafricains Kota Ngbanga,et Ngando.
Parmi les invités de marque à cette soirée, il convient de retenir Yves Dembela, le président du comité d’organisation du concours des miss de l’Afrique centrale.