Lors d’une patrouille dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 janvier 2019, la force onusienne a riposté contre une attaque à la roquette de l’Union pour la paix en Centrafrique (UPC), faisant un nombre indéterminé de victimes, précisent les mêmes sources.
« Deux enfants ont trouvé la mort suite à la riposte de la MINUSCA hier nuit ; la population, mécontente est venue déposer les corps devant la base. En tout cas, il est difficile de savoir si cette balle perdue qui a provoqué cette mort tragique provient de la force onusienne ou des groupes armés», a relevé le député de Bambari 1, Hamadou Aboubakar.
Du côté de la MINUSCA, aucun porte-parole n’était joignable, jeudi 24 janvier.
Lors de la conférence de presse hebdomadaire de la mission onusienne, mercredi 23 janvier, le chef d’état-major de la Force avait annoncé la poursuite des opérations de stabilisation de la ville de Bambari.
Les manifestations des habitants des quartiers Adji et Bornou interviennent au moment où s’ouvrent à Khartoum, au Soudan, des négociations entre le gouvernement centrafricain et les groupes armés sous l’égide de l’Union Africaine en vue de parvenir à un accord de paix.
« Nous allons à cette rencontre avec un esprit d’ouverture, de dialogue et de réconciliation nationale », avait déclaré le chef de la délégation gouvernementale, Firmin Ngrébada, avant de quitter Bangui pour Khartoum le 22 janvier dernier.
« Deux enfants ont trouvé la mort suite à la riposte de la MINUSCA hier nuit ; la population, mécontente est venue déposer les corps devant la base. En tout cas, il est difficile de savoir si cette balle perdue qui a provoqué cette mort tragique provient de la force onusienne ou des groupes armés», a relevé le député de Bambari 1, Hamadou Aboubakar.
Du côté de la MINUSCA, aucun porte-parole n’était joignable, jeudi 24 janvier.
Lors de la conférence de presse hebdomadaire de la mission onusienne, mercredi 23 janvier, le chef d’état-major de la Force avait annoncé la poursuite des opérations de stabilisation de la ville de Bambari.
Les manifestations des habitants des quartiers Adji et Bornou interviennent au moment où s’ouvrent à Khartoum, au Soudan, des négociations entre le gouvernement centrafricain et les groupes armés sous l’égide de l’Union Africaine en vue de parvenir à un accord de paix.
« Nous allons à cette rencontre avec un esprit d’ouverture, de dialogue et de réconciliation nationale », avait déclaré le chef de la délégation gouvernementale, Firmin Ngrébada, avant de quitter Bangui pour Khartoum le 22 janvier dernier.