Firmin Ngrébada, chef de la délégation gouvernementale, répondant à la presse à l'aéroport de Bangui M'poko
La responsabilité de cette délégation composée de ministres, de représentants des partis politiques, de la société civile, des confessions religieuses, des organisations des femmes, des jeunes est de porter le message du président de la République aux compatriotes qui détiennent encore les armes, a indiqué Firmin Ngrébada, avant de quitter Bangui.
« Nous allons à cette rencontre avec un esprit d’ouverture, de dialogue et de réconciliation nationale », a-t-il déclaré.
Il a toutefois relevé que « le président de la République a donné des orientations pour que les discussions se mènent dans les limites de la constitution et des préoccupations des Centrafricains traduites dans les recommandations du Forum de Bangui ».
Pour le député de Bocaranga 3 et président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC), Martin Ziguélé, la rencontre de Khartoum offre l’occasion aux Centrafricains qui ont pris les armes d’expliquer pourquoi.
Par contre pour ceux qui ne sont pas Centrafricains, affirme ne pas comprendre pourquoi ils doivent discuter d’un pays qui n’est pas le leur.
Il convient de rappeler que la rencontre de Khartoum est une étape décisive dans la mise en œuvre de la « Feuille de route pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine », adoptée le 17 août 2017 à Libreville, au Gabon, par le gouvernement centrafricain avec l’Union Africaine, la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL).
L’objectif général de cette feuille de route est de promouvoir le dialogue entre le gouvernement et les groupes armés en vue de parvenir à un accord de paix et de réconciliation, créant les conditions favorables à un désarmement complet.
La rencontre de Khartoum s’ouvre au moment où l’on observe une recrudescence des attaques dues aux groupes armés dans plusieurs localités de la République Centrafricaine.
« Nous allons à cette rencontre avec un esprit d’ouverture, de dialogue et de réconciliation nationale », a-t-il déclaré.
Il a toutefois relevé que « le président de la République a donné des orientations pour que les discussions se mènent dans les limites de la constitution et des préoccupations des Centrafricains traduites dans les recommandations du Forum de Bangui ».
Pour le député de Bocaranga 3 et président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC), Martin Ziguélé, la rencontre de Khartoum offre l’occasion aux Centrafricains qui ont pris les armes d’expliquer pourquoi.
Par contre pour ceux qui ne sont pas Centrafricains, affirme ne pas comprendre pourquoi ils doivent discuter d’un pays qui n’est pas le leur.
Il convient de rappeler que la rencontre de Khartoum est une étape décisive dans la mise en œuvre de la « Feuille de route pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine », adoptée le 17 août 2017 à Libreville, au Gabon, par le gouvernement centrafricain avec l’Union Africaine, la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL).
L’objectif général de cette feuille de route est de promouvoir le dialogue entre le gouvernement et les groupes armés en vue de parvenir à un accord de paix et de réconciliation, créant les conditions favorables à un désarmement complet.
La rencontre de Khartoum s’ouvre au moment où l’on observe une recrudescence des attaques dues aux groupes armés dans plusieurs localités de la République Centrafricaine.