Avant la signature proprement dite de l'accord de paix, le projet sera paraphé, dimanche 3 février 2019 à Khartoum par les parties, à savoir la délégation gouvernementale, les leaders des quatorze groupes armés ainsi que le panel des facilitateurs comprenant le chef de file qui est l'Union africaine assistée de l'Organisation des Nations-Unies.
Les parties devraient parapher le document en présence du président centrafricain, Faustin-Archange Touadéra, annoncé à Khartoum dans la matinée du dimanche 3 février.
Le président Touadéra aura à ses côtés son homologue soudanais, Omar Hassane El-Bechir, et bien d'autres chefs d'Etat, dont l'identité n'a pas encore été déclinée.
Par la suite, tous les acteurs se déporteront à Bangui, lundi 4 février 2019, pour la signature définitive de l'accord, censée intervenir le même jour dans l'après-midi, devant le peuple tout entier.
Au cours d'une brève interview accordée à la presse à la fin des négociations, samedi, le commissaire à la paix et à la sécurité de l'Union africaine, Smaïl Chergui, a souligné que la République Centrafricaine, pays membre de l'Union africaine, doit tourner la page sombre de son histoire et donner la possibilité aux enfants d'aller à l'école, que les citoyens puissent se soigner et participent au développement de leur pays. D'après lui, cela devrait commencer par le vivre-ensemble, le respect mutuel et la promotion des valeurs africaines.
Il a aussi évoqué la question du suivi de la mise en œuvre des clauses de l'accord.
Firmin Ngrébada s'est quant à lui félicité de ce que les négociations s'acheminent vers la fin, et qu'elles ont été conduites dans un esprit de paix et de réconciliation nationale. D'où des compromis faits de part et d'autre sur des questions essentielles.
On ne pourra jamais construire un pays avec les armes mais plutôt avec la paix, a-t-il souligné.
Les pourparlers inter-centrafricains découlent de l'initiative de paix de l'Union africaine. Cependant, le Soudan à offert ses bons offices pour mener à bon port ces négociations ouvertes le jeudi 24 janvier dernier.
Les parties devraient parapher le document en présence du président centrafricain, Faustin-Archange Touadéra, annoncé à Khartoum dans la matinée du dimanche 3 février.
Le président Touadéra aura à ses côtés son homologue soudanais, Omar Hassane El-Bechir, et bien d'autres chefs d'Etat, dont l'identité n'a pas encore été déclinée.
Par la suite, tous les acteurs se déporteront à Bangui, lundi 4 février 2019, pour la signature définitive de l'accord, censée intervenir le même jour dans l'après-midi, devant le peuple tout entier.
Au cours d'une brève interview accordée à la presse à la fin des négociations, samedi, le commissaire à la paix et à la sécurité de l'Union africaine, Smaïl Chergui, a souligné que la République Centrafricaine, pays membre de l'Union africaine, doit tourner la page sombre de son histoire et donner la possibilité aux enfants d'aller à l'école, que les citoyens puissent se soigner et participent au développement de leur pays. D'après lui, cela devrait commencer par le vivre-ensemble, le respect mutuel et la promotion des valeurs africaines.
Il a aussi évoqué la question du suivi de la mise en œuvre des clauses de l'accord.
Firmin Ngrébada s'est quant à lui félicité de ce que les négociations s'acheminent vers la fin, et qu'elles ont été conduites dans un esprit de paix et de réconciliation nationale. D'où des compromis faits de part et d'autre sur des questions essentielles.
On ne pourra jamais construire un pays avec les armes mais plutôt avec la paix, a-t-il souligné.
Les pourparlers inter-centrafricains découlent de l'initiative de paix de l'Union africaine. Cependant, le Soudan à offert ses bons offices pour mener à bon port ces négociations ouvertes le jeudi 24 janvier dernier.