M. Kambogo a nommément cité l'Union africaine, la Communauté Économique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC), la Conférence internationale de la région des grands lacs (CIRGL), les pays de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC), l'Angola et le Soudan, sans compter certaines organisations internationales telles que l'OIF, les Nations Unies et même la Communauté Sant Egidio qui se serrent les coudes au chevet de la République Centrafricaine.
D'après lui, de nombreuses initiatives ou actions en faveur de la République Centrafricaine ont toujours échoué, poussant l'actuel chef de l'Etat, Faustin-Archange Touadéra à solliciter de ses frères africains leurs concours dans la crise centrafricaine. L'initiative africaine, selon lui, est la réponse à cette sollicitation.
M. Kambogo a mis côte-à-côte les revendications des groupes armés, harmonisées lors d'une session à Bouar (452 km au nord-ouest de Bangui) du 28 au 30 août dernier, et les compromis que les parties au dialogue de Khartoum sont appelées à observer. Il s'agit des membres de la délégation gouvernementale et des leaders des quatorze groupes armés.
Il a indiqué que lors des pourparlers de Khartoum, le gouvernement centrafricain va décliner les réponses pragmatiques aux revendications des groupes armés, condition sine qua non d'un accord de paix viable et un mécanisme de suivi conséquent.
Au sortir du dialogue inter-centrafricain, M. Kambogo a exhorté les amis de la République Centrafricaine à un élan de solidarité pour que soit mis fin définitivement aux hostilités qui secouent sans cesse ce pays, tout en endeuillant des familles et en dégradant la situation humanitaire dans certaines régions et que l'année 2019 soit une année de paix véritable.
Du 8 au 10 janvier dernier, une mission internationale conjointe Union africaine et Nations unies s'était rendue à Bangui, capitale de la République Centrafricaine, pour convenir de la date des pourparlers de Khartoum entre le gouvernement centrafricain et les leaders des groupes armés.
Pour la circonstance, des ministres des Affaires étrangères des pays limitrophes de la République Centrafricaine avaient pris part à la mission.
D'après lui, de nombreuses initiatives ou actions en faveur de la République Centrafricaine ont toujours échoué, poussant l'actuel chef de l'Etat, Faustin-Archange Touadéra à solliciter de ses frères africains leurs concours dans la crise centrafricaine. L'initiative africaine, selon lui, est la réponse à cette sollicitation.
M. Kambogo a mis côte-à-côte les revendications des groupes armés, harmonisées lors d'une session à Bouar (452 km au nord-ouest de Bangui) du 28 au 30 août dernier, et les compromis que les parties au dialogue de Khartoum sont appelées à observer. Il s'agit des membres de la délégation gouvernementale et des leaders des quatorze groupes armés.
Il a indiqué que lors des pourparlers de Khartoum, le gouvernement centrafricain va décliner les réponses pragmatiques aux revendications des groupes armés, condition sine qua non d'un accord de paix viable et un mécanisme de suivi conséquent.
Au sortir du dialogue inter-centrafricain, M. Kambogo a exhorté les amis de la République Centrafricaine à un élan de solidarité pour que soit mis fin définitivement aux hostilités qui secouent sans cesse ce pays, tout en endeuillant des familles et en dégradant la situation humanitaire dans certaines régions et que l'année 2019 soit une année de paix véritable.
Du 8 au 10 janvier dernier, une mission internationale conjointe Union africaine et Nations unies s'était rendue à Bangui, capitale de la République Centrafricaine, pour convenir de la date des pourparlers de Khartoum entre le gouvernement centrafricain et les leaders des groupes armés.
Pour la circonstance, des ministres des Affaires étrangères des pays limitrophes de la République Centrafricaine avaient pris part à la mission.