Cet atelier a pour but de renforcer la capacité des Hauts-conseillers et les cadres du service de monitoring dans la lutte contre la désinformation des médias en ligne en République Centrafricaine.
La Vice-présidente du HCC, Edith Vackat a souligné qu’avec la multiplication des médias en ligne, la tâche n’est pas facile et pour cerner le phénomène de désinformation. Il est judicieux pour les cadres du HCC, de se renforcer pour bien remplir leur mission de régulation.
« La loi sur la liberté de la communication en RCA donne aujourd’hui les compétences au HCC de pouvoir réguler la presse en ligne et les réseaux sociaux, d’où la nécessité pour les cadres de ladite institution de de renforcer leur capacité, afin d’être en mesure de faire face à ce phénomène », a souligné Ediht-Isabelle Vackat.
L’expert, Laurent Bigo a pour sa part indiqué que le plus important, c’est de mettre à la disposition des conseillers et cadres du HCC, des connaissances pour leur permettre de mieux s’organiser dans la lutte contre la désinformation dans les médias en Centrafrique.
« Il y a beaucoup de difficultés à gérer cet aspect de désinformation, notamment par le manque de formation, de déontologie et de technique de vérification des faits. A cet effet, le HCC peut jouer un rôle dans ce domaine pour conseiller, aiguiller et former les journalistes centrafricains », a poursuivi Laurent Bigo.
Il faut rappeler que l’Agence Française de Développement des Médias est l’opérateur de coopération du ministère des Affaires étrangères, chargé de coordonner et d’animer la politique française d’aide au développement en faveur des médias.
La Vice-présidente du HCC, Edith Vackat a souligné qu’avec la multiplication des médias en ligne, la tâche n’est pas facile et pour cerner le phénomène de désinformation. Il est judicieux pour les cadres du HCC, de se renforcer pour bien remplir leur mission de régulation.
« La loi sur la liberté de la communication en RCA donne aujourd’hui les compétences au HCC de pouvoir réguler la presse en ligne et les réseaux sociaux, d’où la nécessité pour les cadres de ladite institution de de renforcer leur capacité, afin d’être en mesure de faire face à ce phénomène », a souligné Ediht-Isabelle Vackat.
L’expert, Laurent Bigo a pour sa part indiqué que le plus important, c’est de mettre à la disposition des conseillers et cadres du HCC, des connaissances pour leur permettre de mieux s’organiser dans la lutte contre la désinformation dans les médias en Centrafrique.
« Il y a beaucoup de difficultés à gérer cet aspect de désinformation, notamment par le manque de formation, de déontologie et de technique de vérification des faits. A cet effet, le HCC peut jouer un rôle dans ce domaine pour conseiller, aiguiller et former les journalistes centrafricains », a poursuivi Laurent Bigo.
Il faut rappeler que l’Agence Française de Développement des Médias est l’opérateur de coopération du ministère des Affaires étrangères, chargé de coordonner et d’animer la politique française d’aide au développement en faveur des médias.