Cette activité s’inscrit dans le cadre des 16 jours d’activisme relatifs à la journée internationale des Droits de l’Homme.
Marie Edith Douzima-Lawson a indiqué que la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation joue un rôle important en matière de réponse à la demande des victimes sur la question de la justice, de la vérité et de la réconciliation en République Centrafricaine.
La responsable de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation, a révélé l’importance d’informer la population par le truchement de la presse sur le mandat, les objectifs et les activités de cette institution.
Selon elle, les médias jouent un rôle crucial dans la perception des populations sur les institutions étatiques et le processus de paix à travers le relai d’informations.
« La diffusion et la transmission d’informations de qualité liées aux objectifs de la CVJRR, sont des éléments pour assurer l’engagement et la confiance des communautés dans le processus de la justice transitionnelle », a soutenu Marie Edith Douzima-Lawson.
Il convient de noter que cet atelier d’une journée qui a mobilisé une trentaine de représentants des médias public et privé, fait suite à celui qui avait réuni les leaders de la société civile.
Marie Edith Douzima-Lawson a indiqué que la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation joue un rôle important en matière de réponse à la demande des victimes sur la question de la justice, de la vérité et de la réconciliation en République Centrafricaine.
La responsable de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation, a révélé l’importance d’informer la population par le truchement de la presse sur le mandat, les objectifs et les activités de cette institution.
Selon elle, les médias jouent un rôle crucial dans la perception des populations sur les institutions étatiques et le processus de paix à travers le relai d’informations.
« La diffusion et la transmission d’informations de qualité liées aux objectifs de la CVJRR, sont des éléments pour assurer l’engagement et la confiance des communautés dans le processus de la justice transitionnelle », a soutenu Marie Edith Douzima-Lawson.
Il convient de noter que cet atelier d’une journée qui a mobilisé une trentaine de représentants des médias public et privé, fait suite à celui qui avait réuni les leaders de la société civile.