Vue de l'hémicycle de l'Assemblée nationale, lors d'une séance plénière (archives ACAP)
Selon le rapport de la Commission finances, cette loi corrective permet de prendre en compte la loi de programmation militaire intervenue après l’adoption de la loi de finances 2019, la révision à la hausse du crédit alloué pour les élections 2012-2021.
La loi permet également « la prise en compte des besoins réels de fonctionnement des départements nouvellement créés et d’autres organes mis en place en application de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine signé le 6 février dernier, et la prise en compte des axes stratégiques issus de la déclaration de politique générale du gouvernement », ajoute le rapport.
Il convient de rappeler que la loi de finances 2019 a autorisé le gouvernement à collecter des ressources à hauteur de 238 692 619 000 francs CFA, tandis que les dépenses totales sont quant à elles évaluées à 242 961 521 000 francs CFA, soit un déficit de 4 268 902 000 francs CFA.
La loi permet également « la prise en compte des besoins réels de fonctionnement des départements nouvellement créés et d’autres organes mis en place en application de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République centrafricaine signé le 6 février dernier, et la prise en compte des axes stratégiques issus de la déclaration de politique générale du gouvernement », ajoute le rapport.
Il convient de rappeler que la loi de finances 2019 a autorisé le gouvernement à collecter des ressources à hauteur de 238 692 619 000 francs CFA, tandis que les dépenses totales sont quant à elles évaluées à 242 961 521 000 francs CFA, soit un déficit de 4 268 902 000 francs CFA.