POLITIQUE
Le conférencier a indiqué que sa présentation est issue du plan national de développement sanitaire, 3ème génération qui couvre la période de 2022 à 2026.
Selon le professeur Koffi, la définition du système sanitaire, attribué par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2000, c’est un système qui inclue toutes les activités dont le but essentiel est de promouvoir, de restaurer, ou d’entretenir la santé.
Pour lui, il y’a quatre groupes qui sont des acteurs dans le système sanitaire et ont chacun un rôle important : il y’a ceux qui produisent le service de soin, ceux qui sont constitués par les consommateurs, c’est-à-dire la population, les organisations financières (l’Etats et ses partenaires) et le groupe des régulateurs.
« Avant les indépendances, il y’a la gratuité dans le domaine de soin de santé, mais après les indépendances les difficultés sont monnaies courantes en 1987, les pays africains se sont retrouvés à Bamako (Mali), pour accélérer la mise en œuvre des décisions adéquates, c’est de là que la notion de participation communautaire a été adoptée, validée et a commencé à s’appliquer » a précisé Professeur Koffi.
Il a soutenu que concernant le système de santé centrafricain, la constitution de la République Centrafricaine a souhaité que l’Etat veille sur la santé de la population, avant d’ajouter que notre système sanitaire comme dans d’autres pays a une organisation correspondant au type pyramidal qui se situe dans trois niveaux : niveaux central, niveaux intermédiaire et niveaux régional.
Le professeur Koffi, a réitéré que la principale raison d’être d’un système de santé, c’est d’améliorer la santé de la population, ensuite donner des réponses à des usagers, la communauté doit être satisfaite, bien accueillie, dans une structure de santé, et le système de santé devrait assurer la vie des patients.
Rappelons que cette présentation du 3ème thème a été animée conjointement par le professeur Koffi, et monsieur Wilfried Marius Dandy Wanikomane, Directeur du cabinet au Ministère de la Santé Publique et de la population
Selon le professeur Koffi, la définition du système sanitaire, attribué par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2000, c’est un système qui inclue toutes les activités dont le but essentiel est de promouvoir, de restaurer, ou d’entretenir la santé.
Pour lui, il y’a quatre groupes qui sont des acteurs dans le système sanitaire et ont chacun un rôle important : il y’a ceux qui produisent le service de soin, ceux qui sont constitués par les consommateurs, c’est-à-dire la population, les organisations financières (l’Etats et ses partenaires) et le groupe des régulateurs.
« Avant les indépendances, il y’a la gratuité dans le domaine de soin de santé, mais après les indépendances les difficultés sont monnaies courantes en 1987, les pays africains se sont retrouvés à Bamako (Mali), pour accélérer la mise en œuvre des décisions adéquates, c’est de là que la notion de participation communautaire a été adoptée, validée et a commencé à s’appliquer » a précisé Professeur Koffi.
Il a soutenu que concernant le système de santé centrafricain, la constitution de la République Centrafricaine a souhaité que l’Etat veille sur la santé de la population, avant d’ajouter que notre système sanitaire comme dans d’autres pays a une organisation correspondant au type pyramidal qui se situe dans trois niveaux : niveaux central, niveaux intermédiaire et niveaux régional.
Le professeur Koffi, a réitéré que la principale raison d’être d’un système de santé, c’est d’améliorer la santé de la population, ensuite donner des réponses à des usagers, la communauté doit être satisfaite, bien accueillie, dans une structure de santé, et le système de santé devrait assurer la vie des patients.
Rappelons que cette présentation du 3ème thème a été animée conjointement par le professeur Koffi, et monsieur Wilfried Marius Dandy Wanikomane, Directeur du cabinet au Ministère de la Santé Publique et de la population
