Cette prestation de serment donne l’accès à certains dossiers confidentiels et les prestataires peuvent communiquer sur ces dossiers, car ils font partie intégrante de la Cour Pénale Spéciale.
Le Porte-parole, Jean-Bruno Makala s’est réjoui de prêter serment ce jour au sein de la CPS, afin de représenter les différentes unités de cette institution, car ces unités contribuent à la mise en œuvre de la compétence de ladite cour, notamment enquêter, instruire et juger les personnes responsables de violation des droits humains et des infractions les plus graves commises sur le territoire centrafricain.
« Sa tâche vise à représenter l’institution en tant que telle. A cet effet, le Porte-parole est la bouche de la CPS. De dire à la population centrafricaine, ce que la Cour attend d’elle, c’est-à-dire de venir vers elle, afin que la justice puisse être rendue au nom du peuple centrafricain », a défini le Porte-parole.
Jean-Bruno Makala a soutenu que les activités que son institution mène, s’inscrivent dans le cadre du respect du droit pénal et du code pénal de la République Centrafricaine, qui donnent aux Magistrats toute une procédure des délais à suivre, afin de respecter les droits de l’homme.
Il faut mentionner que les deux juges internationaux de la Cour Pénale spéciale ont déjà prêté serment devant le Président de la République.
Le Porte-parole, Jean-Bruno Makala s’est réjoui de prêter serment ce jour au sein de la CPS, afin de représenter les différentes unités de cette institution, car ces unités contribuent à la mise en œuvre de la compétence de ladite cour, notamment enquêter, instruire et juger les personnes responsables de violation des droits humains et des infractions les plus graves commises sur le territoire centrafricain.
« Sa tâche vise à représenter l’institution en tant que telle. A cet effet, le Porte-parole est la bouche de la CPS. De dire à la population centrafricaine, ce que la Cour attend d’elle, c’est-à-dire de venir vers elle, afin que la justice puisse être rendue au nom du peuple centrafricain », a défini le Porte-parole.
Jean-Bruno Makala a soutenu que les activités que son institution mène, s’inscrivent dans le cadre du respect du droit pénal et du code pénal de la République Centrafricaine, qui donnent aux Magistrats toute une procédure des délais à suivre, afin de respecter les droits de l’homme.
Il faut mentionner que les deux juges internationaux de la Cour Pénale spéciale ont déjà prêté serment devant le Président de la République.