Les Présidents des institutions poursuivent leurs échanges avec le Conseil Economique et Social

Le président de LCDH, Joseph Bindoumi a souligné que « tant qu’il n’y a pas la paix en Centrafrique et que la démocratie reste entamée, c’est l’économie qui en souffre ».
 
Selon Joseph Bindoumi, la République Centrafricaine a des institutions qui sont menacées si le deuxième tour des élections législatives ne se passe pas dans des meilleures conditions.
 
Le président de LCDH a souhaité que le dialogue républicain annoncé par le Chef de l’Etat puisse regrouper les représentants des institutions et des différentes communautés, afin qu’ensemble on recherche ce qui est à l’origine des crises à répétition et trouver une solution durable.
 
Yvon Psimhis, un des représentants de l’union de patronat centrafricain (UPC) a quant à lui suggéré que la remise en exploitation du corridor fluvial Pointe-Noire, Brazzaville, et Bangui, pourrait résoudre les éventuelles difficultés économiques que le pays rencontre pendant les temps de crises.
 
Il convient de rappeler que les travaux de la 1^ère session ordinaire de l’année du Conseil Economique et Social vont se poursuivre avec les examens et adoptions des rapports.