POLITIQUE
L’objectif de cette conférence de presse est d’insister sur le caractère inclusif et transparent que va s’imposer la présidence de la COP22 désormais dirigée par le Maroc.
Salaheddine Mezouar a considéré que « les pays du sud attendent beaucoup de la conférence de Marrakech en termes de financement climatique, de renforcement des capacités et de transfert de technologie ».
C’est pourquoi, il est, une fois de plus, revenu sur les nombreuses annonces faites et qui concernent surtout les domaines du renforcement des capacités et de l'adaptation, y compris le Partenariat National sur les Contributions Déterminées (NDC).
Il a également fait allusion aux propos du Roi Mohammed VI à l’occasion de l'anniversaire de la Marche verte du Maroc où il entendait faire de la COP22 à Marrakech « une COP de l’action ».
Il faut rappeler que « La marche verte » a été une initiative royale lancée le 6 novembre 1975 en vue de récupérer ce qui était censé appartenir au Maroc, par l’ébranlement de plus de 350 000 Marocains dans le désert pour une marche de plusieurs jours.
Au sujet du financement de l’initiative d’Adaptation de l’Agriculture Africaine (AAA), à laquelle a adhéré de nombreux ministres africains de l’Agriculture, lors d’une session du 29 et 30 septembre 2016 à Marrakech, Salaheddine Mezouar s’est appesanti sur l’hypothèse de la mobilisation des ressources en lien avec climat à hauteur de 100 milliards de dollars d'ici 2020 en faveur des pays en développement.
D’où son optimiste en ce qui concerne « la finance verte et le Fonds vert » qui vont intéresser les énergies renouvelables, l'eau, les forêts agricoles et l'adaptation au climat.
Le Président de la COP22 est confiant. Il a juré que sous sa direction, « la COP22 se concentrera sur les moyens visant à optimiser les financements favorables au climat, en particulier pour les projets d'adaptation ».
Pour y parvenir, il a fait allusion aux partenariats, initiatives et projets qui sont susceptibles d’assurer le renforcement des capacités au niveau des projets afin de les rendre « réellement bancables ».
Le Ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à l’endroit de son prédécesseur, la Ministre française de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer chargée des Relations internationales sur le climat, Ségolène Royal.
Salaheddine Mezouar a considéré que « les pays du sud attendent beaucoup de la conférence de Marrakech en termes de financement climatique, de renforcement des capacités et de transfert de technologie ».
C’est pourquoi, il est, une fois de plus, revenu sur les nombreuses annonces faites et qui concernent surtout les domaines du renforcement des capacités et de l'adaptation, y compris le Partenariat National sur les Contributions Déterminées (NDC).
Il a également fait allusion aux propos du Roi Mohammed VI à l’occasion de l'anniversaire de la Marche verte du Maroc où il entendait faire de la COP22 à Marrakech « une COP de l’action ».
Il faut rappeler que « La marche verte » a été une initiative royale lancée le 6 novembre 1975 en vue de récupérer ce qui était censé appartenir au Maroc, par l’ébranlement de plus de 350 000 Marocains dans le désert pour une marche de plusieurs jours.
Au sujet du financement de l’initiative d’Adaptation de l’Agriculture Africaine (AAA), à laquelle a adhéré de nombreux ministres africains de l’Agriculture, lors d’une session du 29 et 30 septembre 2016 à Marrakech, Salaheddine Mezouar s’est appesanti sur l’hypothèse de la mobilisation des ressources en lien avec climat à hauteur de 100 milliards de dollars d'ici 2020 en faveur des pays en développement.
D’où son optimiste en ce qui concerne « la finance verte et le Fonds vert » qui vont intéresser les énergies renouvelables, l'eau, les forêts agricoles et l'adaptation au climat.
Le Président de la COP22 est confiant. Il a juré que sous sa direction, « la COP22 se concentrera sur les moyens visant à optimiser les financements favorables au climat, en particulier pour les projets d'adaptation ».
Pour y parvenir, il a fait allusion aux partenariats, initiatives et projets qui sont susceptibles d’assurer le renforcement des capacités au niveau des projets afin de les rendre « réellement bancables ».
Le Ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à l’endroit de son prédécesseur, la Ministre française de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer chargée des Relations internationales sur le climat, Ségolène Royal.
