L’objectif de cette conférence est de réagir à la controverse suscitée par l’exploitation de l’or dans la localité de Bozoum par quatre sociétés chinoises que sont : Tian Xiang, Tian Ru, Meng et Mao accusées par la population de causer des dommages environnementaux sur les berges de lOuham.
« Je suis un administratif, je ne peux parler sans l’aval du gouvernement qui m’a instruit de gérer ce dossier", a déclaré le ministre, ajoutant que les résultats de la mission pluridisciplinaire commanditée par le gouvernement ne peuvent être dévoilés sans en avoir tous les éléments.
Il a signalé que les experts qui ont effectué la mission, composée, entre autres, des cadres des ministères des Mines, de l’Environnement, des Eaux et Forêts, ont indiqué qu’il était tôt d’évoquer des désastres environnementaux puisqu’ils en étaient réduits au constat visuel.
Toutefois, le membre du gouvernement a reconnu l’ouverture de nombreux chantiers, la déviation du cours de la rivière de son lit initial, le changement de la couleur de l’eau.
Munies de permis délivrés par le ministère des Mines, quatre sociétés chinoises ont entamé en décembre 2018 des travaux d’exploitation aurifère le long de l’Ouham à Bozoum. Seulement, la technique d’exploitation semi-mécanisée a suscité des dénonciations de tous genres, tant de la part de la population, du prêtre de la localité que du parlement, qui a ouvert une enquête.
Au-delà de tout, M. Mboli Fatran a retenu que le parlement a produit un "rapport politique", tandis que les experts du gouvernement, eux, ont fourni « un rapport administratif et technique ». Il a promis que les sociétés incriminées entreprendront, à la fin des chantiers, des travaux de réhabilitation pour que la rivière Ouham reprenne son cours normal.
« Je suis un administratif, je ne peux parler sans l’aval du gouvernement qui m’a instruit de gérer ce dossier", a déclaré le ministre, ajoutant que les résultats de la mission pluridisciplinaire commanditée par le gouvernement ne peuvent être dévoilés sans en avoir tous les éléments.
Il a signalé que les experts qui ont effectué la mission, composée, entre autres, des cadres des ministères des Mines, de l’Environnement, des Eaux et Forêts, ont indiqué qu’il était tôt d’évoquer des désastres environnementaux puisqu’ils en étaient réduits au constat visuel.
Toutefois, le membre du gouvernement a reconnu l’ouverture de nombreux chantiers, la déviation du cours de la rivière de son lit initial, le changement de la couleur de l’eau.
Munies de permis délivrés par le ministère des Mines, quatre sociétés chinoises ont entamé en décembre 2018 des travaux d’exploitation aurifère le long de l’Ouham à Bozoum. Seulement, la technique d’exploitation semi-mécanisée a suscité des dénonciations de tous genres, tant de la part de la population, du prêtre de la localité que du parlement, qui a ouvert une enquête.
Au-delà de tout, M. Mboli Fatran a retenu que le parlement a produit un "rapport politique", tandis que les experts du gouvernement, eux, ont fourni « un rapport administratif et technique ». Il a promis que les sociétés incriminées entreprendront, à la fin des chantiers, des travaux de réhabilitation pour que la rivière Ouham reprenne son cours normal.