Selon le communiqué, une unité des Forces armées centrafricaines (Faca) basée à Kabo au Nord du pays est tombée mardi 11 novembre 2008, "dans une embuscade dressée par les rebelles du Front démocratique du peuple centrafricain (Fdpc), d’Abdoulaye Miskine, au village Nobandja, à 28 km de Moyenne Sido, où ils ont séquestré des transporteurs".
« Des militaires de forces armées centrafricaines (Faca) ont été tués, un (1) véhicule mis hors d’usage », précise le communiqué.
Pour le ministère de la Défense nationale, ces actes sont de nature "à boycotter le processus en cours et entraîner le peuple centrafricain dans un affrontement fratricide".
A cet effet "il prend à témoin, l’opinion nationale et internationale et particulièrement la Force Multinationale de la paix (MICOPAX), qui a été prévenue par le Chef d’Etat-Major des Armées en vue de constater les faits sur le terrain et les velléités de provocations récidivistes de ces compatriotes".
« Au moment où le peuple centrafricain, épris de paix, cherche voies et moyens pour se réconcilier à tout prix avec lui-même, à travers le dialogue politique inclusif dont les conditionnalités ont été suivies et honorées de bout en bout par les autorités de Bangui, cet assassinat lâche, perpétré contre des militaires confiant de la trêve et du climat de sérénité nécessaires à la tenue de ce forum national, dénote de l’inconstance du Fdpc et de ses dirigeants irrespectueux de leurs engagements », fait remarquer le communiqué.
Par ailleurs, « l’armée nationale a toujours dénoncé ces actes ignobles qui continuent malheureusement de compromettre les efforts de paix de la nation toute entière. Elle ne saurait tolérer indéfiniment ces exactions. Elle reste toutefois attachée à sa mission de défense de l’intégrité du territoire et de la libre circulation des personnes et des biens ».
« Des militaires de forces armées centrafricaines (Faca) ont été tués, un (1) véhicule mis hors d’usage », précise le communiqué.
Pour le ministère de la Défense nationale, ces actes sont de nature "à boycotter le processus en cours et entraîner le peuple centrafricain dans un affrontement fratricide".
A cet effet "il prend à témoin, l’opinion nationale et internationale et particulièrement la Force Multinationale de la paix (MICOPAX), qui a été prévenue par le Chef d’Etat-Major des Armées en vue de constater les faits sur le terrain et les velléités de provocations récidivistes de ces compatriotes".
« Au moment où le peuple centrafricain, épris de paix, cherche voies et moyens pour se réconcilier à tout prix avec lui-même, à travers le dialogue politique inclusif dont les conditionnalités ont été suivies et honorées de bout en bout par les autorités de Bangui, cet assassinat lâche, perpétré contre des militaires confiant de la trêve et du climat de sérénité nécessaires à la tenue de ce forum national, dénote de l’inconstance du Fdpc et de ses dirigeants irrespectueux de leurs engagements », fait remarquer le communiqué.
Par ailleurs, « l’armée nationale a toujours dénoncé ces actes ignobles qui continuent malheureusement de compromettre les efforts de paix de la nation toute entière. Elle ne saurait tolérer indéfiniment ces exactions. Elle reste toutefois attachée à sa mission de défense de l’intégrité du territoire et de la libre circulation des personnes et des biens ».