Selon le communiqué, une patrouille mixte de la Mission de consolidation de la paix (Micopax)-Forces armées centrafricaine (Faca) est tombée dans une embuscade de l’Aprd à Bougol à 30 Km de Paoua, et a occasionné deux blessés parmi les militaires de la force régionale de paix.
« Le ministère de la défense nationale, est surpris par un tel revirement dans la mesure où, le 15 septembre dernier à Libreville, M. Jean Jacques Démafouth a annoncé son retour à la table de négociation, précisant qu’ « il ne pourrait demeurer insensible aux souffrancex du peuple » et se dit « favorable à l’intervention de la Micopax qui veut aider les parties à faire une très bonne application du cessez-le-feu », rappelle le communiqué.
Selon le communiqué, « cette contradiction interne apparue dans l’exécution des consignes de leader de ce mouvement est révélateur du malaise profond qui s’empare de l’Aprd, à un moment où l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (Ufdr), affirme de son côté, sa disponibilité à appliquer intégralement les dispositions du texte de loi d’amnistie dans le délai fixé ».
« Ce volte-face, destinée à compromettre les efforts du gouvernement et de la communauté internationale, participe d’une stratégie consistant à empêcher par tous les moyens la poursuite du processus du dialogue politique inclusif par ceux-là même qui réclamaient à corps et à cri l’adoption d’une loi d’amnistie élargie à tous les protagonistes », précise le ministère de la Défense nationale.
« Dans tous les cas, les manœuvres de l’Aprd et de son leader ne sauraient stopper la marche irréversible du peuple souverain vers la tenue du dialogue politique inclusif, conformément à la volonté exprimée plus d’une fois par le Président de la République », conclut le communiqué.
Il convient de noter qu’après l’adoption de la loi d’amnistie par l’Assemblée nationale le 29 septembre dernier, M. Jean Jacques Démafouth leader de l’Aprd avait jugé insuffisant le délai de 60 jours fixé pour le désarmement, la démobilisation et le cantonnement de ses hommes.
« Le ministère de la défense nationale, est surpris par un tel revirement dans la mesure où, le 15 septembre dernier à Libreville, M. Jean Jacques Démafouth a annoncé son retour à la table de négociation, précisant qu’ « il ne pourrait demeurer insensible aux souffrancex du peuple » et se dit « favorable à l’intervention de la Micopax qui veut aider les parties à faire une très bonne application du cessez-le-feu », rappelle le communiqué.
Selon le communiqué, « cette contradiction interne apparue dans l’exécution des consignes de leader de ce mouvement est révélateur du malaise profond qui s’empare de l’Aprd, à un moment où l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (Ufdr), affirme de son côté, sa disponibilité à appliquer intégralement les dispositions du texte de loi d’amnistie dans le délai fixé ».
« Ce volte-face, destinée à compromettre les efforts du gouvernement et de la communauté internationale, participe d’une stratégie consistant à empêcher par tous les moyens la poursuite du processus du dialogue politique inclusif par ceux-là même qui réclamaient à corps et à cri l’adoption d’une loi d’amnistie élargie à tous les protagonistes », précise le ministère de la Défense nationale.
« Dans tous les cas, les manœuvres de l’Aprd et de son leader ne sauraient stopper la marche irréversible du peuple souverain vers la tenue du dialogue politique inclusif, conformément à la volonté exprimée plus d’une fois par le Président de la République », conclut le communiqué.
Il convient de noter qu’après l’adoption de la loi d’amnistie par l’Assemblée nationale le 29 septembre dernier, M. Jean Jacques Démafouth leader de l’Aprd avait jugé insuffisant le délai de 60 jours fixé pour le désarmement, la démobilisation et le cantonnement de ses hommes.