Poignée de main entre le président Faustin Archange Touadéra (g) et Martin Koumta Madji, dit Abdoulaye Miskine, chef du Front pour la démocratie en Centrafrique (FDPC)
Aboutissement de pourparlers engagés le 24 janvier dernier sous l'égide de l'Union africaine et de l'ONU, ce pré-accord devrait être signé le 6 février au cours d'une cérémonie solennelle à Bangui, en République Centrafricaine.
Cet accord devrait conduire, à terme, à un désarmement complet des groupes armés et permettre un retour à la paix dans le pays secoué depuis 2013 par des violences armées suite au renversement du régime du général François Bozizé par une coalition de mouvements rebelles baptisée "Séléka" (alliance, en sango, langue nationale).
Cet accord devrait conduire, à terme, à un désarmement complet des groupes armés et permettre un retour à la paix dans le pays secoué depuis 2013 par des violences armées suite au renversement du régime du général François Bozizé par une coalition de mouvements rebelles baptisée "Séléka" (alliance, en sango, langue nationale).