Le porte-parole du gouvernement, Ange Maxime Kazagui
Dans ce communiqué rendu public en début d'après-midi, le chef de service de la Communication, Kévin-Dimitri Yalangba, a déploré les nombreuses manœuvres de désinformation et de spéculation autour de cet accord dont le contenu n’a pourtant pas encore été dévoilé.
« Cet accord, nous le devons à la maturité du peuple centrafricain et au sens républicain et hautement patriotique des protagonistes qui ont mis la République Centrafricaine au-dessus de toute considération partisane », souligne le communiqué.
Ce type de comportement renforce la thèse de la manipulation ourdie par les ennemis de la paix et de la réconciliation nationale, s’agissant d’une négociation que les centrafricains ont appelée de leurs voeux, conclut le communiqué, invitant les Centrafricains à ne pas se laisser manipuler, mais à s’unir et à se rassembler pour faire face au défi du développement.
La réaction du gouvernement intervient au lendemain de la conclusion des négociations de Khartoum, alors que les supputations se multiplient sur les réseaux sociaux et dans les médias au sujet des concessions faites par la délégation gouvernementale pour parvenir à un accord avec les groupes armés.
Initialement prévu pour être paraphé lundi 4 février à Khartoum, l'accord le sera finalement mardi 5 février, en présence du chef de l'Etat centrafricain, Faustin Archange Touadéra, avant la signature définitive prévue pour le 6 février à Bangui.
« Cet accord, nous le devons à la maturité du peuple centrafricain et au sens républicain et hautement patriotique des protagonistes qui ont mis la République Centrafricaine au-dessus de toute considération partisane », souligne le communiqué.
Ce type de comportement renforce la thèse de la manipulation ourdie par les ennemis de la paix et de la réconciliation nationale, s’agissant d’une négociation que les centrafricains ont appelée de leurs voeux, conclut le communiqué, invitant les Centrafricains à ne pas se laisser manipuler, mais à s’unir et à se rassembler pour faire face au défi du développement.
La réaction du gouvernement intervient au lendemain de la conclusion des négociations de Khartoum, alors que les supputations se multiplient sur les réseaux sociaux et dans les médias au sujet des concessions faites par la délégation gouvernementale pour parvenir à un accord avec les groupes armés.
Initialement prévu pour être paraphé lundi 4 février à Khartoum, l'accord le sera finalement mardi 5 février, en présence du chef de l'Etat centrafricain, Faustin Archange Touadéra, avant la signature définitive prévue pour le 6 février à Bangui.