Le 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Evariste Ngamana a souhaité que l’Union Européenne, le Royaume Uni, les Etats-Unis d’Amérique, ainsi que d’autres partenaires prennent du recul par rapport à ce rapport dont les conclusions sont totalement erronées.
L’honorable Evariste Ngamana a estimé que cette attitude constitue un complot contre la République Centrafricaine dans ce qu’il considère comme une guerre de positionnement entre les grandes puissances.
« Le bureau de l’Assemblée nationale s’étonne du fait que les nombreuses missions des Nations-Unies et autres n’aient pu pacifier la République Centrafricaine et cela n’a pas fait l’objet d’une quelconque enquête », a fait remarquer le 1er Vice-président.
Evariste Ngamana a déclaré que ce rapport vise à entrainer des sanctions contre la République Centrafrique, tant sur le plan politique, militaire que financier, alors qu’aucun rapport n’a été publié sur les exactions des groupes armés qui écument le pays, entre autres la CPC.
« Les éventuelles sanctions risquent de contribuer à l’aggravation de la souffrance du peuple centrafricain déjà confronté aux multiples maux générés par l’occupation d’une partie du territoire national par les groupes armés», a-t-il ajouté.
Il convient de signaler que le bureau de l’Assemblée nationale se réserve le droit de lancer une enquête parlementaire, aux fins de rétablir la vérité et de tirer les conclusions qui s’imposent.
L’honorable Evariste Ngamana a estimé que cette attitude constitue un complot contre la République Centrafricaine dans ce qu’il considère comme une guerre de positionnement entre les grandes puissances.
« Le bureau de l’Assemblée nationale s’étonne du fait que les nombreuses missions des Nations-Unies et autres n’aient pu pacifier la République Centrafricaine et cela n’a pas fait l’objet d’une quelconque enquête », a fait remarquer le 1er Vice-président.
Evariste Ngamana a déclaré que ce rapport vise à entrainer des sanctions contre la République Centrafrique, tant sur le plan politique, militaire que financier, alors qu’aucun rapport n’a été publié sur les exactions des groupes armés qui écument le pays, entre autres la CPC.
« Les éventuelles sanctions risquent de contribuer à l’aggravation de la souffrance du peuple centrafricain déjà confronté aux multiples maux générés par l’occupation d’une partie du territoire national par les groupes armés», a-t-il ajouté.
Il convient de signaler que le bureau de l’Assemblée nationale se réserve le droit de lancer une enquête parlementaire, aux fins de rétablir la vérité et de tirer les conclusions qui s’imposent.