L’intérêt de cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la sensibilisation sur la stratégie nationale de lutte contre la dissémination, la lutte contre la prolifération des armes et l’utilisation abusive des armes dans le pays élaboré par le gouvernement pour une durée de cinq ans.
Le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji, a souligné que la sensibilisation consiste à accroître la connaissance et la compréhension de la population sur les questions liées à la paix. Le résultat vise à susciter l’appui populaire afin de promouvoir le dialogue et montrer la volonté politique à agir et à renforcer la confiance auprès de la population civile.
« Ce qu’il faut retenir, c’est que la sensibilisation du public est l’affaire de tous, car elle implique le gouvernement, les départements compétents de l’Etat, la société civile, les notables, les politiciens, les médias, les partenaires, les militants politiques, les parlementaires, et tous les citoyens », a fait remarquer le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji.
S’agissant de la remise volontaire des armes, le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji, a fait savoir que cette campagne de sensibilisation de la population, des acteurs, y compris les utilisateurs d’armes illégaux à des fins destructives sur le territoire national avec pour objectif principal, ‘inciter les présumés détenteurs illégaux à remettre volontairement les armes qu’ils détiennent aux structures de l’Etat dédiés à les recevoir en échange de la sécurité.
Selon le Secrétaire exécutif, la sécurité est indispensable au développement socio-économique du pays et l’épanouissement de chaque citoyen et sa famille.
« Si les intéressés remettent leurs armes, c’est un acte de citoyenneté. Quand le pays va mal, quand le pays est confronté à un défi majeur qui bloque son épanouissement, il faut un sursaut, il faut agir et notre message à tous les détenteurs, c’est de changer de comportement pour assurer un avenir meilleur à la génération future », a conclu le secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji.
Il convient de rappeler que le phénomène de la prolifération des armes a poussé le gouvernement centrafricain à créer en 2017, une structure nationale dédiée à la lutte contre ce fléau dénommé « Commission Nationale de Lutte Contre la Prolifération des Armes Légères et de Petit Calibre ».
Le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji, a souligné que la sensibilisation consiste à accroître la connaissance et la compréhension de la population sur les questions liées à la paix. Le résultat vise à susciter l’appui populaire afin de promouvoir le dialogue et montrer la volonté politique à agir et à renforcer la confiance auprès de la population civile.
« Ce qu’il faut retenir, c’est que la sensibilisation du public est l’affaire de tous, car elle implique le gouvernement, les départements compétents de l’Etat, la société civile, les notables, les politiciens, les médias, les partenaires, les militants politiques, les parlementaires, et tous les citoyens », a fait remarquer le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji.
S’agissant de la remise volontaire des armes, le Secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji, a fait savoir que cette campagne de sensibilisation de la population, des acteurs, y compris les utilisateurs d’armes illégaux à des fins destructives sur le territoire national avec pour objectif principal, ‘inciter les présumés détenteurs illégaux à remettre volontairement les armes qu’ils détiennent aux structures de l’Etat dédiés à les recevoir en échange de la sécurité.
Selon le Secrétaire exécutif, la sécurité est indispensable au développement socio-économique du pays et l’épanouissement de chaque citoyen et sa famille.
« Si les intéressés remettent leurs armes, c’est un acte de citoyenneté. Quand le pays va mal, quand le pays est confronté à un défi majeur qui bloque son épanouissement, il faut un sursaut, il faut agir et notre message à tous les détenteurs, c’est de changer de comportement pour assurer un avenir meilleur à la génération future », a conclu le secrétaire exécutif, Jean Pierre Betindji.
Il convient de rappeler que le phénomène de la prolifération des armes a poussé le gouvernement centrafricain à créer en 2017, une structure nationale dédiée à la lutte contre ce fléau dénommé « Commission Nationale de Lutte Contre la Prolifération des Armes Légères et de Petit Calibre ».