D'entrée de jeu, Mme Brigitte Touadéra a été proposée marraine de l'aile du REFELA-Centrafrique, tout comme Mme Samba Panza, qui a été désignée présidente d'honneur. La présidente régulière est Mme Léontine Mboula, vice-présidente de la délégation spéciale de la ville de Bangui.
Les 14 et 15 août 2019, plus d'une centaine d'élues locales venues des seize préfectures que compte la République centrafricaine vont partager les expériences de leurs sœurs venues de la Côte d'Ivoire, du Congo Brazzaville et majoritairement du Cameroun.
Pour la circonstance, Mme Samba Panza a déploré le fait que les femmes représentent plus de la moitié de la population en République centrafricaine, mais qu'elles sont minoritaires tant au gouvernement, dans les collectivités locales que dans les instances de décision. Son vœu est que cette tendance soit rapidement inversée, par l'incitation des femmes à se présenter aux fonctions électives.
Le REFELA-Afrique, faut-il le rappeler, est issu d'une réunion de plus de 500 élues locales africaines à Tanger, au Maroc, du 8 au 11 mars 2011. L'organisation se présente comme étant un cadre de réflexion pour les femmes élues locales et leur porte-voix au niveau national, régional et international, capable d'impulser le leadership féminin.
L'organisation s'est fixé comme objectif le rayonnement du REFELA-Afrique, la promotion de la campagne ville africaine pour la lutte contre les violences faites aux femmes, l'autonomisation économique et financière des femmes et la lutte contre la présence des enfants de la rue.
Le premier congrès du REFELA se tient en République centrafricaine à un moment où beaucoup de défis persistent. Il s'agit, entre autres, des violences quotidiennes dont sont victimes les femmes et les filles, leur sous-représentativité dans les instances de décision, les difficultés à rendre opérationnelle la loi sur la parité promulguée en mars 2016.
La fin des travaux jeudi prévoit l'installation des membres du REFELA-Centrafrique, de même que les membres des bureaux régionaux. A ce titre, la République centrafricaine se présente comme étant le 25ème pays qui installe sur son territoire les organes du REFELA.
Les 14 et 15 août 2019, plus d'une centaine d'élues locales venues des seize préfectures que compte la République centrafricaine vont partager les expériences de leurs sœurs venues de la Côte d'Ivoire, du Congo Brazzaville et majoritairement du Cameroun.
Pour la circonstance, Mme Samba Panza a déploré le fait que les femmes représentent plus de la moitié de la population en République centrafricaine, mais qu'elles sont minoritaires tant au gouvernement, dans les collectivités locales que dans les instances de décision. Son vœu est que cette tendance soit rapidement inversée, par l'incitation des femmes à se présenter aux fonctions électives.
Le REFELA-Afrique, faut-il le rappeler, est issu d'une réunion de plus de 500 élues locales africaines à Tanger, au Maroc, du 8 au 11 mars 2011. L'organisation se présente comme étant un cadre de réflexion pour les femmes élues locales et leur porte-voix au niveau national, régional et international, capable d'impulser le leadership féminin.
L'organisation s'est fixé comme objectif le rayonnement du REFELA-Afrique, la promotion de la campagne ville africaine pour la lutte contre les violences faites aux femmes, l'autonomisation économique et financière des femmes et la lutte contre la présence des enfants de la rue.
Le premier congrès du REFELA se tient en République centrafricaine à un moment où beaucoup de défis persistent. Il s'agit, entre autres, des violences quotidiennes dont sont victimes les femmes et les filles, leur sous-représentativité dans les instances de décision, les difficultés à rendre opérationnelle la loi sur la parité promulguée en mars 2016.
La fin des travaux jeudi prévoit l'installation des membres du REFELA-Centrafrique, de même que les membres des bureaux régionaux. A ce titre, la République centrafricaine se présente comme étant le 25ème pays qui installe sur son territoire les organes du REFELA.