L’enjeu de cette rencontre avec les médias nationaux est d’interpeller les partenaires qui avaient fait des promesses à la Table ronde de Bruxelles sur la République Centrafricaine pour que leurs appuis multiformes puissent contribuer à une stabilisation durable du pays à travers notamment la valorisation des nombreux potentiels agricoles.
D’après Jean-Alexandre Scaglia, « les partenaires des secteurs agropastoraux doivent rester unis, solidaires et travailler chacun dans son domaine, de manière à transformer les promesses de Bruxelles en une réalité concrète en 2017.
Il a précisé que « le vœu principal de la FAO est que la communauté nationale et internationale prenne conscience de l’enjeu que représente les ressources naturelles renouvelables, en général, et l’agriculture en particulier, dans le cadre du redressement de la RCA ».
Le Représentant résident de la FAO a estimé que ce qu’il faut pour la République Centrafricaine « c’est l’emploi pour sa population » et s'est dit convaincu que « le secteur agricole est un grand pourvoyeur d’emplois, plus particulièrement pour les jeunes".
Il a considéré que « l’investissement dans les secteurs productifs reste le meilleur moyen d’aider la population centrafricaine, pour lui redonner le bien-être et le bonheur et construire une nation stable et apaisée et dans laquelle il fera bon-vivre» ».
Il est à noter que la vision globale de la FAO est de contribuer à l’élimination de la faim, de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition : rendre l’agriculture, la foresterie et la pêche plus productrices et améliorer la résilience des moyens d’existence face aux crises.
D’après Jean-Alexandre Scaglia, « les partenaires des secteurs agropastoraux doivent rester unis, solidaires et travailler chacun dans son domaine, de manière à transformer les promesses de Bruxelles en une réalité concrète en 2017.
Il a précisé que « le vœu principal de la FAO est que la communauté nationale et internationale prenne conscience de l’enjeu que représente les ressources naturelles renouvelables, en général, et l’agriculture en particulier, dans le cadre du redressement de la RCA ».
Le Représentant résident de la FAO a estimé que ce qu’il faut pour la République Centrafricaine « c’est l’emploi pour sa population » et s'est dit convaincu que « le secteur agricole est un grand pourvoyeur d’emplois, plus particulièrement pour les jeunes".
Il a considéré que « l’investissement dans les secteurs productifs reste le meilleur moyen d’aider la population centrafricaine, pour lui redonner le bien-être et le bonheur et construire une nation stable et apaisée et dans laquelle il fera bon-vivre» ».
Il est à noter que la vision globale de la FAO est de contribuer à l’élimination de la faim, de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition : rendre l’agriculture, la foresterie et la pêche plus productrices et améliorer la résilience des moyens d’existence face aux crises.