POLITIQUE
Le Représentant a profité de la séance de présentation des vœux de nouvel an pour faire la rétrospective des actions réalisées l’année dernière dans le secteur agricole en Centrafrique et a évoqué les perspectives de l’année en cours.
Il a indiqué que l’année 2017 est une année de transition dans la mesure où il y a eu émergence de véritables programmes de relance agricole.
Il a fait savoir que dans le cadre humanitaire, l’Organisation a assisté plus de 500.000 bénéficiaires en kits de semences et en outillages.
« Au-delà des actions humanitaires, la FAO a mis en place un programme de réinsertion des ex-combattants, d’appui aux jeunes en vue de la mise en place de l’entreprenariat agricole, gage d’emploi », a poursuivi Jean-Alexandre Scaglia.
Pour l’année 2018, le Représentant de la FAO a souligné que sa première action consiste à accompagner le retour volontaire des déplacés internes et des réfugiés aux fins de la reprise des activités agropastorales.
Il a rappelé que la Fao va appuyer l’entreprenariat agricole afin que les jeunes puissent retrouver une perspective d’avenir avec des projets leur permettant d’avoir un emploi.
« Si on ne réussit pas la relance du secteur agricole en Centrafrique qui touche le plus grand nombre de populations, on ne réussira pas la stabilisation et à instaurer la paix de manière quasiment définitive dans le pays », a-t-il conclu.
Il a indiqué que l’année 2017 est une année de transition dans la mesure où il y a eu émergence de véritables programmes de relance agricole.
Il a fait savoir que dans le cadre humanitaire, l’Organisation a assisté plus de 500.000 bénéficiaires en kits de semences et en outillages.
« Au-delà des actions humanitaires, la FAO a mis en place un programme de réinsertion des ex-combattants, d’appui aux jeunes en vue de la mise en place de l’entreprenariat agricole, gage d’emploi », a poursuivi Jean-Alexandre Scaglia.
Pour l’année 2018, le Représentant de la FAO a souligné que sa première action consiste à accompagner le retour volontaire des déplacés internes et des réfugiés aux fins de la reprise des activités agropastorales.
Il a rappelé que la Fao va appuyer l’entreprenariat agricole afin que les jeunes puissent retrouver une perspective d’avenir avec des projets leur permettant d’avoir un emploi.
« Si on ne réussit pas la relance du secteur agricole en Centrafrique qui touche le plus grand nombre de populations, on ne réussira pas la stabilisation et à instaurer la paix de manière quasiment définitive dans le pays », a-t-il conclu.
