L’objectif du lancement du Fonds vert, en partenariat avec la Fondation Brazzaville pour la Paix et la Préservation de l’environnement, est de promouvoir des solutions tant économique et environnemental dans le bassin du Congo, deuxième poumon écologique de la planète, en dépassant la simple exploitation des forêts pour un développement durable et innovant de l’exploitation des ressources renouvelables des eaux du Congo et de ses affluents.
Le Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso a précisé que « les pays du bassin du Congo, tels que l’Angola, le Burundi, le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine, la RD Congo, qui soutiennent le projet, de même que la Tanzanie, le Rwanda et la Zambie qui ont un œil regardant de ce côté-là, « recevront leurs ressources à travers ce Fonds bleu qui est un programme d’avenir pour l’Afrique ».
Il a renchéri comme quoi, « ce Fonds bleu, dont la gestion sera équitable et transparente, pour que certains n’en abusent pas par rapport aux autres, facilitera la mise en œuvre des petits projets de construction de barrages hydroélectriques et des projets d’irrigation pour l’agriculture, le développement de pêche, de la pisciculture et de l’aquaculture ».
Denis Sassou Nguesso a pensé que « le Fonds bleu vient en complément aux autres fonds qui existent déjà à travers le monde et qu’il lui incombe de supporter sinon promouvoir des projets le long du fleuve Congo et de ses affluents pour le bonheur des riverains ».
Il a évoqué que « les subventions annuelles renouvelables octroyées par le Fonds à hauteur de 100 millions d’euros, soit près de 65 milliards de francs CFA, permettront d’intervenir dans les secteurs de la protection de l’environnement et la réduction des effets du réchauffement climatique dans la région ».
Il a en outre sollicité l’appui de la communauté internationale pour qu’il apporte sa contribution au Fonds.
Il est à noter que le ‘Fonds bleu’ n’est qu’un projet pour lequel des experts et autres bailleurs de fonds planchent pour déterminer son mécanismes de fonctionnement.
Des analystes ont même soutenu qu’il est nécessaire que le Tchad intègre cette l’initiative dans le but de trouver des solutions à l’assèchement de son Lac qui a perdu 80% de sa superficie au cours des quarante dernières années.
Le Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso a précisé que « les pays du bassin du Congo, tels que l’Angola, le Burundi, le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine, la RD Congo, qui soutiennent le projet, de même que la Tanzanie, le Rwanda et la Zambie qui ont un œil regardant de ce côté-là, « recevront leurs ressources à travers ce Fonds bleu qui est un programme d’avenir pour l’Afrique ».
Il a renchéri comme quoi, « ce Fonds bleu, dont la gestion sera équitable et transparente, pour que certains n’en abusent pas par rapport aux autres, facilitera la mise en œuvre des petits projets de construction de barrages hydroélectriques et des projets d’irrigation pour l’agriculture, le développement de pêche, de la pisciculture et de l’aquaculture ».
Denis Sassou Nguesso a pensé que « le Fonds bleu vient en complément aux autres fonds qui existent déjà à travers le monde et qu’il lui incombe de supporter sinon promouvoir des projets le long du fleuve Congo et de ses affluents pour le bonheur des riverains ».
Il a évoqué que « les subventions annuelles renouvelables octroyées par le Fonds à hauteur de 100 millions d’euros, soit près de 65 milliards de francs CFA, permettront d’intervenir dans les secteurs de la protection de l’environnement et la réduction des effets du réchauffement climatique dans la région ».
Il a en outre sollicité l’appui de la communauté internationale pour qu’il apporte sa contribution au Fonds.
Il est à noter que le ‘Fonds bleu’ n’est qu’un projet pour lequel des experts et autres bailleurs de fonds planchent pour déterminer son mécanismes de fonctionnement.
Des analystes ont même soutenu qu’il est nécessaire que le Tchad intègre cette l’initiative dans le but de trouver des solutions à l’assèchement de son Lac qui a perdu 80% de sa superficie au cours des quarante dernières années.