Le nouveau bureau du Conseil Economique et Social (CES) se présente de la manière suivante :
1er Vice-président : Lucie Agbo Demba
2ème Vice-président : Vie de Dieu Ngoko Zenguet
Questeur : Bienvenu Paradis Rizane Gbadora
Rapporteur général : Clément De-Boutet M’Bamba
Rapporteur général adjoint : Dulcie Valérienne Mokosso
Au terme de ces travaux, les Conseillers économiques et sociaux ont recommandé, entre autres au gouvernement, de poursuivre les opérations de reconquête et de sécurisation territoriale, de faire de la lutte contre l’impunité un facteur fondamental du retour de la paix et de revoir les procédures d’importation et les taxes afin de faciliter l’approvisionnement et mieux gérer l’inflation.
Le président du CES, Alfred Taïnga Poloko a révélé qu’à l’occasion des opportunités des dialogues comme celles que son institution a créé, que la démocratie sera vernie et dans sa motte maturation, pourrait mettre au défis toutes autres vérités d’expropriation de la souveraineté du peuple par des moyens autres que le suffrage universel.
« En définitif, les principales préoccupations des entités et personnalités que nous avons sollicitées, seront transmises au gouvernement et aux différentes institutions de la République comme notre contribution aux réflexions préliminaires à la concertation annoncée par le Chef de l’Etat », a conclu le Conseiller Taïnga Poloko.
Il convient de rappeler que les travaux de la première session de l’année s’étaient concentrés sur une thématique principale à savoir : « la contribution à la consolidation de la paix, de la démocratie et à la relance économique ». Les Conseillers économiques et sociaux ont également donné un avis favorable au projet de loi portant Création de l’Agence Centrafricaine de Normalisation.
1er Vice-président : Lucie Agbo Demba
2ème Vice-président : Vie de Dieu Ngoko Zenguet
Questeur : Bienvenu Paradis Rizane Gbadora
Rapporteur général : Clément De-Boutet M’Bamba
Rapporteur général adjoint : Dulcie Valérienne Mokosso
Au terme de ces travaux, les Conseillers économiques et sociaux ont recommandé, entre autres au gouvernement, de poursuivre les opérations de reconquête et de sécurisation territoriale, de faire de la lutte contre l’impunité un facteur fondamental du retour de la paix et de revoir les procédures d’importation et les taxes afin de faciliter l’approvisionnement et mieux gérer l’inflation.
Le président du CES, Alfred Taïnga Poloko a révélé qu’à l’occasion des opportunités des dialogues comme celles que son institution a créé, que la démocratie sera vernie et dans sa motte maturation, pourrait mettre au défis toutes autres vérités d’expropriation de la souveraineté du peuple par des moyens autres que le suffrage universel.
« En définitif, les principales préoccupations des entités et personnalités que nous avons sollicitées, seront transmises au gouvernement et aux différentes institutions de la République comme notre contribution aux réflexions préliminaires à la concertation annoncée par le Chef de l’Etat », a conclu le Conseiller Taïnga Poloko.
Il convient de rappeler que les travaux de la première session de l’année s’étaient concentrés sur une thématique principale à savoir : « la contribution à la consolidation de la paix, de la démocratie et à la relance économique ». Les Conseillers économiques et sociaux ont également donné un avis favorable au projet de loi portant Création de l’Agence Centrafricaine de Normalisation.