POLITIQUE
L’objectif de ce projet est d’établir un partenariat avec les centres nationaux de recherche, les services de vulgarisation, les ONG, les décideurs politiques, les groupements de riziculteurs, les institutions de crédit, les institutions de micro finance, les transporteurs de riz, les commerçants et les fournisseurs d’intrants, afin de mieux cerner les enjeux du problème et assurer la mise en œuvre dudit projet.
« Le riz occupe une place de choix dans l’alimentation de nombreuses populations africaines, mais le riz produit localement n’arrive pas à couvrir les besoins de la sous-région, et les pays africains dépendent de beaucoup de l’importation », a fait remarquer le Dr Rita.
Pour elle, le lancement du projet en question se situe essentiellement dans le cadre de la recherche de la sécurité alimentaire durable en faveur des revenus des populations les plus pauvres.
Le Dr Rita a souligné que la crise alimentaire secoue le monde entier, mais plus sévèrement l’Afrique subsaharienne, car « aucun projet ou initiative ne serait de trop pour juguler la famine et permettre aux populations africaines, et surtout aux paysans de vivre mieux ».
« Le lancement de ce projet vient à point nommé, afin de contribuer à la réduction de la crise alimentaire au moment où le monde entier traverse deux crises, notamment la crise alimentaire et la crise financière.
Il a fait remarquer que les effets de la crise alimentaire se font déjà ressentir partout. « elle affecte notre continent, le village et le foyer, dont le ministère du Développement Rural a une mission primordiale de promouvoir l’autosuffisance alimentaire et de lutter contre la pauvreté, en particulier en milieu rural », a-t-il souligné.
Le ministre d’Etat Jean Eudes Téya a enfin exhorté l’équipe dirigeante du projet « Amélioration de la compétitivité du riz en Afrique Centrale », à s’approprier les stratégies d’approche » pour la réussite de cette initiative.
Créée en 1971 par 17 pays de l’Afrique de l’Ouest, l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest a pour mission de contribuer à la réduction de la pauvreté en assurant la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne.
Notons que le lancement de ce projet est organisé par l’Icra en partenariat avec le Fonds commun des produits de base. Ces assises regroupent une trentaine de cadres de différents départements ministériels techniques.
« Le riz occupe une place de choix dans l’alimentation de nombreuses populations africaines, mais le riz produit localement n’arrive pas à couvrir les besoins de la sous-région, et les pays africains dépendent de beaucoup de l’importation », a fait remarquer le Dr Rita.
Pour elle, le lancement du projet en question se situe essentiellement dans le cadre de la recherche de la sécurité alimentaire durable en faveur des revenus des populations les plus pauvres.
Le Dr Rita a souligné que la crise alimentaire secoue le monde entier, mais plus sévèrement l’Afrique subsaharienne, car « aucun projet ou initiative ne serait de trop pour juguler la famine et permettre aux populations africaines, et surtout aux paysans de vivre mieux ».
« Le lancement de ce projet vient à point nommé, afin de contribuer à la réduction de la crise alimentaire au moment où le monde entier traverse deux crises, notamment la crise alimentaire et la crise financière.
Il a fait remarquer que les effets de la crise alimentaire se font déjà ressentir partout. « elle affecte notre continent, le village et le foyer, dont le ministère du Développement Rural a une mission primordiale de promouvoir l’autosuffisance alimentaire et de lutter contre la pauvreté, en particulier en milieu rural », a-t-il souligné.
Le ministre d’Etat Jean Eudes Téya a enfin exhorté l’équipe dirigeante du projet « Amélioration de la compétitivité du riz en Afrique Centrale », à s’approprier les stratégies d’approche » pour la réussite de cette initiative.
Créée en 1971 par 17 pays de l’Afrique de l’Ouest, l’Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l’Ouest a pour mission de contribuer à la réduction de la pauvreté en assurant la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne.
Notons que le lancement de ce projet est organisé par l’Icra en partenariat avec le Fonds commun des produits de base. Ces assises regroupent une trentaine de cadres de différents départements ministériels techniques.
