Le but de cette conférence de presse est de faire le plaidoyer auprès du comité de pilotage chargé de la mise en place de la Commission vérité, justice, réparation et réparation et du gouvernement pour qu’ils puissent prendre en compte la question du genre et de la parité.
Dans ses propos liminaires, le Porte-parole Rosalie Kobo a situé le contexte et justification de la mise en place de la Commission vérité, justice, réparation et réparation en République Centrafricaine.
Elle a souligné que ces dix femmes membres des six organisations de la société civile ont été identifiées, formées sur les notions de plaidoyer et aujourd’hui, c’est le lancement de leurs activités.
Selon elle, la mise en place de la CVJRR est l’une des recommandations du forum de Bangui de 2015 et que c’est important que dans cette Commission figurent des femmes diplômées, et illettrées. Car ces dernières, chacune dans leurs domaines ou localités ont beaucoup d’influences et d’expériences et qu’elles peuvent apporter leurs contributions à cette Commission.
Elle a aussi spécifié que la Commission vérité, justice, réparation et réparation est une justice transitionnelle, considérée comme un pont entre la communauté et la justice à l’image de ce qui s’était passé en Afrique du Sud et au Rwanda.
Claudia Toussonekeya , l’une des intervenantes, a pour sa part indiqué que, si elles se sont mobilisées pour cette cause, ce n’est pas pour négocier une place dans cette Commission qui sera mis en place. Mais c’est pour porter la voix des femmes souvent négligées et marginalisées.
Quant à Diane Adoum, la femme a toute son importance dans ce processus de paix et que les femmes ont permis la vulgarisation de l’accord politique de paix et réconciliation en Centrafrique dans des endroits interdits aux hommes.
Il convient de rappeler qu’OXFAM, est le partenaire technique et financier de ces femmes des organisations de la société civile telles qu’AFJC, AFPC, RJDH etc.
Dans ses propos liminaires, le Porte-parole Rosalie Kobo a situé le contexte et justification de la mise en place de la Commission vérité, justice, réparation et réparation en République Centrafricaine.
Elle a souligné que ces dix femmes membres des six organisations de la société civile ont été identifiées, formées sur les notions de plaidoyer et aujourd’hui, c’est le lancement de leurs activités.
Selon elle, la mise en place de la CVJRR est l’une des recommandations du forum de Bangui de 2015 et que c’est important que dans cette Commission figurent des femmes diplômées, et illettrées. Car ces dernières, chacune dans leurs domaines ou localités ont beaucoup d’influences et d’expériences et qu’elles peuvent apporter leurs contributions à cette Commission.
Elle a aussi spécifié que la Commission vérité, justice, réparation et réparation est une justice transitionnelle, considérée comme un pont entre la communauté et la justice à l’image de ce qui s’était passé en Afrique du Sud et au Rwanda.
Claudia Toussonekeya , l’une des intervenantes, a pour sa part indiqué que, si elles se sont mobilisées pour cette cause, ce n’est pas pour négocier une place dans cette Commission qui sera mis en place. Mais c’est pour porter la voix des femmes souvent négligées et marginalisées.
Quant à Diane Adoum, la femme a toute son importance dans ce processus de paix et que les femmes ont permis la vulgarisation de l’accord politique de paix et réconciliation en Centrafrique dans des endroits interdits aux hommes.
Il convient de rappeler qu’OXFAM, est le partenaire technique et financier de ces femmes des organisations de la société civile telles qu’AFJC, AFPC, RJDH etc.