Le Conseiller Albert Yaloké Mokpème a expliqué que le Président Faustin Archange Touadéra a accordé une audience, le mardi 29 janvier, à l’Ambassadeur de Chine en République Centrafricaine, Chen Dong, de retour d'un voyage en Chine.
Il a souligné qu’en visite de travail en Centrafrique, le Directeur Général de la Société de Téléphonie Orange en charge de l’Afrique et du Moyen-Orient, Alioune Gaye, a été reçu par le président de la République, mercredi 30 janvier accompagné de la Directrice générale d’Orange Centrafrique.
« Le Groupe Orange, qui est présent dans 20 pays du continent, s’est implanté en Centrafrique depuis 2007 et compte parmi les grands opérateurs de téléphonie de la place avec une couverture nationale dans 19 villes de province. Victime de la crise comme tout le monde, Orange Centrafrique a beaucoup investi pour le renouvellement de son réseau tout comme dans Orange Money », a-t-il poursuivi.
Le gouvernement a beaucoup travaillé pour la réduction de la pression fiscale et s’attaque à l’épineux problème judiciaire des entreprises de la place qui n’améliore pas le climat des affaires, a indiqué le Conseiller Mokpème.
Sur le plan national, il a indiqué que la présidence de la République prend acte de la décision du Conseil de Sécurité des Nations-Unies sur l’embargo, il n’a pas jugé suffisants les efforts consentis par le gouvernement centrafricain pour répondre aux conditions posées par le Comité des sanctions.
Pour lui, ces préalables sont entre autres les armes livrées qui doivent être stockées, conservées et protégées dans une poudrière répondant aux normes internationales ; les armes livrées qui doivent être identifiées pour un meilleur suivi et les armes livrées qui doivent être tracées avec un porteur autorisé, identifié comme un soldat ou une force de sécurité avec un matricule connu des autorités.
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Il a fait observer que ceci n’entame en rien la détermination du président de la République a poursuivre ce juste combat auprès de la Communauté des nations pour dire que la République Centrafricaine, comme toutes les autres nations, ne peut pas vivre sans une armée capable de défendre ses frontières.
Quant au dialogue qui a lieu à Khartoum, au Soudan, le Conseiller Mokpème a rappelé que la présidence de la République note que tous les participants sont animés de la volonté d’arriver à un accord de paix et que, comme dans toute négociation, il existe de grands moments d’enthousiasme et, de temps à autre, des moments d’incompréhension.
Tout le travail de la délégation gouvernementale centrafricaine conduite par le Directeur de Cabinet de la Présidence, Firmin Ngrébada, est faite sous l’impulsion du Président Faustin Archange Touadéra, a-t-il conclu.
Il a souligné qu’en visite de travail en Centrafrique, le Directeur Général de la Société de Téléphonie Orange en charge de l’Afrique et du Moyen-Orient, Alioune Gaye, a été reçu par le président de la République, mercredi 30 janvier accompagné de la Directrice générale d’Orange Centrafrique.
« Le Groupe Orange, qui est présent dans 20 pays du continent, s’est implanté en Centrafrique depuis 2007 et compte parmi les grands opérateurs de téléphonie de la place avec une couverture nationale dans 19 villes de province. Victime de la crise comme tout le monde, Orange Centrafrique a beaucoup investi pour le renouvellement de son réseau tout comme dans Orange Money », a-t-il poursuivi.
Le gouvernement a beaucoup travaillé pour la réduction de la pression fiscale et s’attaque à l’épineux problème judiciaire des entreprises de la place qui n’améliore pas le climat des affaires, a indiqué le Conseiller Mokpème.
Sur le plan national, il a indiqué que la présidence de la République prend acte de la décision du Conseil de Sécurité des Nations-Unies sur l’embargo, il n’a pas jugé suffisants les efforts consentis par le gouvernement centrafricain pour répondre aux conditions posées par le Comité des sanctions.
Pour lui, ces préalables sont entre autres les armes livrées qui doivent être stockées, conservées et protégées dans une poudrière répondant aux normes internationales ; les armes livrées qui doivent être identifiées pour un meilleur suivi et les armes livrées qui doivent être tracées avec un porteur autorisé, identifié comme un soldat ou une force de sécurité avec un matricule connu des autorités.
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Il a fait observer que ceci n’entame en rien la détermination du président de la République a poursuivre ce juste combat auprès de la Communauté des nations pour dire que la République Centrafricaine, comme toutes les autres nations, ne peut pas vivre sans une armée capable de défendre ses frontières.
Quant au dialogue qui a lieu à Khartoum, au Soudan, le Conseiller Mokpème a rappelé que la présidence de la République note que tous les participants sont animés de la volonté d’arriver à un accord de paix et que, comme dans toute négociation, il existe de grands moments d’enthousiasme et, de temps à autre, des moments d’incompréhension.
Tout le travail de la délégation gouvernementale centrafricaine conduite par le Directeur de Cabinet de la Présidence, Firmin Ngrébada, est faite sous l’impulsion du Président Faustin Archange Touadéra, a-t-il conclu.