Il a retenu que le Président Faustin-Archange Touadéra accédait au pouvoir dans un contexte sécuritaire d'une extrême précarité, caractérisée par l'absence des forces de défense et de sécurité. D'où son appel à la solidarité internationale.
L'initiative africaine de paix et de réconciliation en République Centrafricaine, mettant face à face des membres du gouvernement et les leaders des groupes armés, est donc pour lui une réponse à l'appel du Président Touadéra.
Cependant, il a mis le doigt sur les nombreux accords de paix qui n'ont jamais eu d'effets. D'où la nécessité de négocier autrement "afin de sortir de la logique de l'éternel recommencement".
Son vœu ardent est qu'à la fin des négociations de Khartoum, les Centrafricains disposent d'un accord global de paix, qu'il appelle autrement "le trophée'.
Sur la base de la vision du gouvernement, indique une source proche des négociations, les revendications des groupes armés transmises au panel des facilitateurs sont classées dans les rubriques politique, justice et réconciliation, paix et sécurité et développement économique.
Toutefois, a précisé cette source, les négociations de Khartoum devraient reposer sur la Constitution de mars 2016, les recommandations du Forum de Bangui de 2015 et également l'impunité zéro pour les auteurs des crimes contre le peuple centrafricain.
Enfin, a indiqué la même source, la signature d'un accord global de paix devrait concourir au rétablissement de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire centrafricain.
Les membres du gouvernement faisant partie de la délégation conduite à Khartoum par le ministre d'Etat Ngrébada sont : Marie-Noëlle Koyara de la Défense nationale, Sylvie Baïpo Témon, des Affaires étrangères, Flavien Mbata de la Justice, et Virginie Mbaïkoua de l'Action humanitaire.
Ouvert le jeudi 24 janvier dernier sous l'égide de l'Union africaine et de l'ONU, le dialogue inter-centrafricain de Khartoum vise à conclure un accord de paix et de réconciliation permettant un arrêt des violences dus aux groupes armés et une reprise des activités sur l'ensemble du territoire.
L'initiative africaine de paix et de réconciliation en République Centrafricaine, mettant face à face des membres du gouvernement et les leaders des groupes armés, est donc pour lui une réponse à l'appel du Président Touadéra.
Cependant, il a mis le doigt sur les nombreux accords de paix qui n'ont jamais eu d'effets. D'où la nécessité de négocier autrement "afin de sortir de la logique de l'éternel recommencement".
Son vœu ardent est qu'à la fin des négociations de Khartoum, les Centrafricains disposent d'un accord global de paix, qu'il appelle autrement "le trophée'.
Sur la base de la vision du gouvernement, indique une source proche des négociations, les revendications des groupes armés transmises au panel des facilitateurs sont classées dans les rubriques politique, justice et réconciliation, paix et sécurité et développement économique.
Toutefois, a précisé cette source, les négociations de Khartoum devraient reposer sur la Constitution de mars 2016, les recommandations du Forum de Bangui de 2015 et également l'impunité zéro pour les auteurs des crimes contre le peuple centrafricain.
Enfin, a indiqué la même source, la signature d'un accord global de paix devrait concourir au rétablissement de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du territoire centrafricain.
Les membres du gouvernement faisant partie de la délégation conduite à Khartoum par le ministre d'Etat Ngrébada sont : Marie-Noëlle Koyara de la Défense nationale, Sylvie Baïpo Témon, des Affaires étrangères, Flavien Mbata de la Justice, et Virginie Mbaïkoua de l'Action humanitaire.
Ouvert le jeudi 24 janvier dernier sous l'égide de l'Union africaine et de l'ONU, le dialogue inter-centrafricain de Khartoum vise à conclure un accord de paix et de réconciliation permettant un arrêt des violences dus aux groupes armés et une reprise des activités sur l'ensemble du territoire.