L’objet de cet atelier est de présenter le projet, son état d’avancement à toutes les institutions de la République, de mener avec les participants des discussions sur les avantages environnementaux et socioéconomiques du projet pour la République Centrafricaine.
Il s'agit également d’élaborer une lettre de non objection à envoyer au Fonds vert pour qu’il libère les 150.000.000 dollars américains nécessaires pour la mise en oeuvre de ce projet, a indiqué le Directeur du Fonds vert chargé de la mobilisation des ressources de la coordination nationale Climat, Michel Dimbélé.
"Le manque d’accès à l’électrification non seulement entrave le développement socioéconomique général, mais a contribué à augmenter les émissions de gaz à effet de serre en raison de sa dépendance accrue des populations et des institutions aux combustibles à forte teneur en carbone tels que le bois de chauffe, l’essence et le diesel, pour satisfaire leurs besoins énergétiques de base", a expliqué le coordonnateur national, Igor Tola Kogadou.
"C’est ainsi que les pays de l’espace de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDAO), à travers le Centre pour les Energies Renouvelables et l’Efficacité Energétique de la CEDEAO(ECREEE) ont monté un projet régional d’électrification hors réseau qui a reçu un financement de la Banque Mondiale", a-t-il indiqué.
"Ce projet d’un montant de 600.000.000 de dollars qui promeut l’accès à l’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque a été étendu à quatre autres pays frontaliers de l’espace CEDEAO, dont la République Centrafricaine", a ajouté Igor Tola Kogadou.
C’est dans le souci de garantir le succès dudit projet que la Banque Mondiale s’est rapprochée du Fonds vert Climat pour un cofinancement de 150.000.000 de dollars.
C’est pourquoi les autorités nationales désignées pour le changement climatique ont été sollicitées pour la délivrance de lettre de non objection à envoyer au Fonds vert pour le financement de ce projet régional.
Il s'agit également d’élaborer une lettre de non objection à envoyer au Fonds vert pour qu’il libère les 150.000.000 dollars américains nécessaires pour la mise en oeuvre de ce projet, a indiqué le Directeur du Fonds vert chargé de la mobilisation des ressources de la coordination nationale Climat, Michel Dimbélé.
"Le manque d’accès à l’électrification non seulement entrave le développement socioéconomique général, mais a contribué à augmenter les émissions de gaz à effet de serre en raison de sa dépendance accrue des populations et des institutions aux combustibles à forte teneur en carbone tels que le bois de chauffe, l’essence et le diesel, pour satisfaire leurs besoins énergétiques de base", a expliqué le coordonnateur national, Igor Tola Kogadou.
"C’est ainsi que les pays de l’espace de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDAO), à travers le Centre pour les Energies Renouvelables et l’Efficacité Energétique de la CEDEAO(ECREEE) ont monté un projet régional d’électrification hors réseau qui a reçu un financement de la Banque Mondiale", a-t-il indiqué.
"Ce projet d’un montant de 600.000.000 de dollars qui promeut l’accès à l’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque a été étendu à quatre autres pays frontaliers de l’espace CEDEAO, dont la République Centrafricaine", a ajouté Igor Tola Kogadou.
C’est dans le souci de garantir le succès dudit projet que la Banque Mondiale s’est rapprochée du Fonds vert Climat pour un cofinancement de 150.000.000 de dollars.
C’est pourquoi les autorités nationales désignées pour le changement climatique ont été sollicitées pour la délivrance de lettre de non objection à envoyer au Fonds vert pour le financement de ce projet régional.