Plusieurs points intéressant la coopération bilatérale entre le Congo et la République centrafricaine sont soumis à l'examen des experts des deux pays, appelés à les traiter les lundi et mardi.
Il y a d'une part, l'évaluation des conclusions de la quatrième session d'avril 1987, et d'autre part, les nouveaux points inscrits à l'ordre du jour.
Les premiers points comprennent les questions politiques, sécuritaires, juridiques, économiques et commerciales, scientifiques, techniques et culturelles. Les nouveaux points, ont intégré les préoccupations liées à la poste, les télécommunications, l'économie numérique et la coopération décentralisée.
Au cours de sa déclaration, Mme Sylvie Baïpo Témon a avoué que la 5ème commission mixte se tient dans un contexte politique, économique et sécuritaire difficile pour la République centrafricaine, une crise ayant désagrégé le tissu économique et remis en cause la paix sociale.
Elle a toutefois reconnu la solidarité du Congo qui, d'une part, a accueilli plusieurs dizaines de réfugiés centrafricains sur son territoire et, d'autre part, a fourni des soldats dans toutes les forces mises à la disposition de la paix en République centrafricaine (FOMAC, MICOPAX, MISCA et MINUSCA).
Evoquant les questions de la coopération, le ministre des Affaires étrangères de la République centrafricaine a signalé la faiblesse des échanges commerciaux entre les deux pays, en dépit des énormes potentialités dont ils regorgent.
Le vœu des uns et des autres est que les experts aboutissent à des conclusions débouchant sur de nouvelles perspectives de coopération dense et fructueuse entre les deux pays.
En marge de cette session, les représentants des gouvernements des deux pays et les représentations du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés ont signé un accord tripartite, cadre formel pour le rapatriement volontaire des réfugiés centrafricains résidant au Congo Brazzaville.
Un projet d'accord de collaborations entre l'Agence congolaise d'information (ACI) et l'Agence Centrafrique presse (ACAP) figure parmi les dossiers à examiner.
La cinquième session de la grande commission mixte entre la République du Congo et la République centrafricaine intervient trente deux ans, après la quatrième qui a eu lieu en avril 1987.
Il y a d'une part, l'évaluation des conclusions de la quatrième session d'avril 1987, et d'autre part, les nouveaux points inscrits à l'ordre du jour.
Les premiers points comprennent les questions politiques, sécuritaires, juridiques, économiques et commerciales, scientifiques, techniques et culturelles. Les nouveaux points, ont intégré les préoccupations liées à la poste, les télécommunications, l'économie numérique et la coopération décentralisée.
Au cours de sa déclaration, Mme Sylvie Baïpo Témon a avoué que la 5ème commission mixte se tient dans un contexte politique, économique et sécuritaire difficile pour la République centrafricaine, une crise ayant désagrégé le tissu économique et remis en cause la paix sociale.
Elle a toutefois reconnu la solidarité du Congo qui, d'une part, a accueilli plusieurs dizaines de réfugiés centrafricains sur son territoire et, d'autre part, a fourni des soldats dans toutes les forces mises à la disposition de la paix en République centrafricaine (FOMAC, MICOPAX, MISCA et MINUSCA).
Evoquant les questions de la coopération, le ministre des Affaires étrangères de la République centrafricaine a signalé la faiblesse des échanges commerciaux entre les deux pays, en dépit des énormes potentialités dont ils regorgent.
Le vœu des uns et des autres est que les experts aboutissent à des conclusions débouchant sur de nouvelles perspectives de coopération dense et fructueuse entre les deux pays.
En marge de cette session, les représentants des gouvernements des deux pays et les représentations du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés ont signé un accord tripartite, cadre formel pour le rapatriement volontaire des réfugiés centrafricains résidant au Congo Brazzaville.
Un projet d'accord de collaborations entre l'Agence congolaise d'information (ACI) et l'Agence Centrafrique presse (ACAP) figure parmi les dossiers à examiner.
La cinquième session de la grande commission mixte entre la République du Congo et la République centrafricaine intervient trente deux ans, après la quatrième qui a eu lieu en avril 1987.