Le but de cette réunion de concertation est de rendre compte des conclusions du sommet extraordinaire des chefs d'Etat de la Communauté Economique des Etats d'Afrique Centrale (CEEAC) sur la crise centrafricaine tenu en marge du 23è sommet de l'Union africaine de Malabo (Guinée équatoriale) et d’échanger avec eux afin d’harmoniser leurs points de vues sur les enjeux du prochain forum de dialogue inter- centrafricain de Brazzaville (Congo).
En analysant les différents précédents fora inter-centrafricains, la chef de l'Etat, a rappelé que, « les expériences du 2è sommet extraordinaire sur la crise de la RCA à Libreville 11 janvier 2013 montrent qu'il y a une mauvaise préparation et un manque de cohérence au niveau des acteurs nationaux préjudiciable à la conduite de la transition ».
C'est ainsi, a-t-elle développé « nous comptons organiser avant le forum de Brazzaville des consultations avec les diverses plateformes politiques, de la société civile pour qu'elles apprêtent leur mémorandum de sortie de crise ».
Aux dires de la Présidente Mme Samba-Panza, il est fondamental de se rendre à Brazzaville mais avec une vision claire et partagée du format de ce forum et que les participants soient bien imprégnés des enjeux du forum
Pour elle le forum de Brazzaville est capital en ce sens qu'« il parait important d'informer et de sensibiliser les participants, de définir la liste et les critères de désignation des représentants des forces vives de la nation à ce forum, échanger et harmoniser sur le projet d'agenda de ce forum. »
Par contre, les leaders politiques, religieux et la société civile ont unanimement préféré consulter leurs bases respectives avant de se prononcer sur leur éventuelle participation ou non à ce forum.
En analysant les différents précédents fora inter-centrafricains, la chef de l'Etat, a rappelé que, « les expériences du 2è sommet extraordinaire sur la crise de la RCA à Libreville 11 janvier 2013 montrent qu'il y a une mauvaise préparation et un manque de cohérence au niveau des acteurs nationaux préjudiciable à la conduite de la transition ».
C'est ainsi, a-t-elle développé « nous comptons organiser avant le forum de Brazzaville des consultations avec les diverses plateformes politiques, de la société civile pour qu'elles apprêtent leur mémorandum de sortie de crise ».
Aux dires de la Présidente Mme Samba-Panza, il est fondamental de se rendre à Brazzaville mais avec une vision claire et partagée du format de ce forum et que les participants soient bien imprégnés des enjeux du forum
Pour elle le forum de Brazzaville est capital en ce sens qu'« il parait important d'informer et de sensibiliser les participants, de définir la liste et les critères de désignation des représentants des forces vives de la nation à ce forum, échanger et harmoniser sur le projet d'agenda de ce forum. »
Par contre, les leaders politiques, religieux et la société civile ont unanimement préféré consulter leurs bases respectives avant de se prononcer sur leur éventuelle participation ou non à ce forum.