Cette exposition a été organisé conjointement par le musée de la Cité interdite, le musée du Louvre et le musée du Palais impérial, avec le concours scientifique du musée national des Arts asiatiques Guimet.
Le visiteur est invité à parcourir 800 d'histoire, depuis la dynastie Yuan, jusqu'à l'orée du monde moderne.
"L'évènement est organisé autour de quatre axes principaux, répartis dans trois espaces distincts du Louvre, campe la chronologie et insiste sur les échanges récurrents entre la France et la Chine," a présenté Jean-Paul Desroches, commisaire de l'exposition et conservateur général au musée Guimet.
Les fossés du Louvre médiéval et la salle de la maquette présentent l'architecture fortifiée de la Cité interdite tandis que la question des collections impériales est abordée dans la galerie Richelieu autour de l'empreur Qianlong.
L'exposition ouvre sur l'histoire croisée des dynasties en Chine et en France. Le principe est d'insérer dans la trame chronologique des salles de l'histoire du Louvre, la série des principaux souverains chinois et de montrer, pour chaque grande période, les échanges qui ont pu exister entre les deux pays.
"Quand tel rois de France règnet, qu'est-ce qui se passe en Chine, et quand tel empreur règne en Chine, qu'est-ce qui se passe en France," a expliqué M. Desroches, ajoutant que "L'objectif c'est d'abord une rencontre, donc des histoires croisées dans un premier temps et en allant pour le public du connu-l'histoire de France-vers l'inconnu qui est l'histoire de Chine."
Le point d'orgue de cette rencontre est installé dans la galerie Richelieu autour de la personnalité de Qianlong. Au XVIIIème siècle, l'Empire du Milieu est alors au zénith de sa puissance, avec le territoire le plus vaste de son histoire. Monarque absolu, Qianlong entend régenter la politique comme les arts. Peintre, calligraphe, collectionneur, il recueille dans ses palais les plus beaux fleurons de l'empire et attire des artistes occidentaux comme Giuseppe Castiglione ou Jean-Denis Attiret.
Une importante collection de ces oeuvres insignes, en particulier de grandes peintures de chevaux, a été réunie autour de ses portraits, face à l'un de ses trônes d'apparat.
Le visiteur est invité à parcourir 800 d'histoire, depuis la dynastie Yuan, jusqu'à l'orée du monde moderne.
"L'évènement est organisé autour de quatre axes principaux, répartis dans trois espaces distincts du Louvre, campe la chronologie et insiste sur les échanges récurrents entre la France et la Chine," a présenté Jean-Paul Desroches, commisaire de l'exposition et conservateur général au musée Guimet.
Les fossés du Louvre médiéval et la salle de la maquette présentent l'architecture fortifiée de la Cité interdite tandis que la question des collections impériales est abordée dans la galerie Richelieu autour de l'empreur Qianlong.
L'exposition ouvre sur l'histoire croisée des dynasties en Chine et en France. Le principe est d'insérer dans la trame chronologique des salles de l'histoire du Louvre, la série des principaux souverains chinois et de montrer, pour chaque grande période, les échanges qui ont pu exister entre les deux pays.
"Quand tel rois de France règnet, qu'est-ce qui se passe en Chine, et quand tel empreur règne en Chine, qu'est-ce qui se passe en France," a expliqué M. Desroches, ajoutant que "L'objectif c'est d'abord une rencontre, donc des histoires croisées dans un premier temps et en allant pour le public du connu-l'histoire de France-vers l'inconnu qui est l'histoire de Chine."
Le point d'orgue de cette rencontre est installé dans la galerie Richelieu autour de la personnalité de Qianlong. Au XVIIIème siècle, l'Empire du Milieu est alors au zénith de sa puissance, avec le territoire le plus vaste de son histoire. Monarque absolu, Qianlong entend régenter la politique comme les arts. Peintre, calligraphe, collectionneur, il recueille dans ses palais les plus beaux fleurons de l'empire et attire des artistes occidentaux comme Giuseppe Castiglione ou Jean-Denis Attiret.
Une importante collection de ces oeuvres insignes, en particulier de grandes peintures de chevaux, a été réunie autour de ses portraits, face à l'un de ses trônes d'apparat.