L’objectif de cet atelier est d’accompagner la République Centrafricaine à préparer et à soumettre sa troisième communication nationale à la Conférence des Parties de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques.
La Ministre Arlette Sombo-Dibélé a signalé que cette troisième communication nationale mettra à jour des informations fournies lors de la seconde communication nationale de 2015 puis elle décrira les progrès réalisés, en lien avec les actions initiées par le pays afin de faire face aux changements climatiques.
Le membre du gouvernement a fait remarquer que, « la République Centrafricaine est victime des conséquences du changement climatique puisque ce pays n’a pas de responsabilité historique en ce qui concerne les émissions de gaz à effets de serre, en dépit du phénomène de dégradation des forêts ».
Arlette Sombo-Dibélé a suggéré des « activités de renforcement de capacités et de sensibilisation tout au long du processus de préparation et d’élaboration de la troisième communication nationale ».
Pour Elca Wabusya, représentant le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), la troisième communication nationale « aidera la République Centrafricaine à respecter ses obligations de déclaration vis-à-vis de la CCNUCC et à mettre au grand jour les efforts nationaux d’intégration des mesures d'adaptation et d'atténuation des changements climatiques dans les processus de développement et de planification ».
Elle a admis que « les derniers rapports d'évaluation de gaz à effet de serre dans l'atmosphère ont révélé « une augmentation des températures moyennes mondiales causées par l’accentuation des activités humaines, dominées par l’action de brûler les combustibles fossiles et l’exploitation des forêts tropicales ».
Toutefois, Elca Wabusya a dit croire que la République Centrafricaine, comme la plupart des pays africains, peut poursuivre des projets légitimes de développement socioéconomique et que les émissions futures de gaz à effet de serre soient réduites.
Son vœu est que la République Centrafricaine bénéficie d'une aide financière, technologique et de renforcement des capacités pour contribuer aux efforts mondiaux d'atténuation et de réduction de gaz à effet de serre.
Il a soutenu que d’ici avril 2020, le projet aura permis, entre autres, l’actualisation de l’inventaire national des gaz à effet de serre, l’évaluation des questions de vulnérabilité, d’adaptation et d’atténuation des émissions de gaz à effets de serre, la mise à jour des circonstances nationales des contraintes et des lacunes ainsi que l’évaluation des besoins en matière de renforcement des capacités, de financement et de transfert de technologie.
La Ministre Arlette Sombo-Dibélé a signalé que cette troisième communication nationale mettra à jour des informations fournies lors de la seconde communication nationale de 2015 puis elle décrira les progrès réalisés, en lien avec les actions initiées par le pays afin de faire face aux changements climatiques.
Le membre du gouvernement a fait remarquer que, « la République Centrafricaine est victime des conséquences du changement climatique puisque ce pays n’a pas de responsabilité historique en ce qui concerne les émissions de gaz à effets de serre, en dépit du phénomène de dégradation des forêts ».
Arlette Sombo-Dibélé a suggéré des « activités de renforcement de capacités et de sensibilisation tout au long du processus de préparation et d’élaboration de la troisième communication nationale ».
Pour Elca Wabusya, représentant le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), la troisième communication nationale « aidera la République Centrafricaine à respecter ses obligations de déclaration vis-à-vis de la CCNUCC et à mettre au grand jour les efforts nationaux d’intégration des mesures d'adaptation et d'atténuation des changements climatiques dans les processus de développement et de planification ».
Elle a admis que « les derniers rapports d'évaluation de gaz à effet de serre dans l'atmosphère ont révélé « une augmentation des températures moyennes mondiales causées par l’accentuation des activités humaines, dominées par l’action de brûler les combustibles fossiles et l’exploitation des forêts tropicales ».
Toutefois, Elca Wabusya a dit croire que la République Centrafricaine, comme la plupart des pays africains, peut poursuivre des projets légitimes de développement socioéconomique et que les émissions futures de gaz à effet de serre soient réduites.
Son vœu est que la République Centrafricaine bénéficie d'une aide financière, technologique et de renforcement des capacités pour contribuer aux efforts mondiaux d'atténuation et de réduction de gaz à effet de serre.
C’est pourquoi elle a proposé à la Centrafrique d’intégrer les résultats de ses études sur les changements climatiques dans les plans et programmes nationaux de développement afin de garantir que les efforts de développement nationaux soient durables ; de promouvoir une prise de conscience accrue parmi les décideurs politiques et l'ensemble de la population des causes et des effets néfastes des changements climatiques et de contribuer à l'amélioration des attitudes et des politiques ; d’identifier les projets liés au climat qui, lorsqu'ils seront mis en œuvre, contribueront à réaliser une aspiration socioéconomique légitime.
Le Coordonateur National Climat, Igor Gildas Tola Kogadou, a rappelé que la République Centrafricaine a ratifié la CCNUCC en 1995 et que la communication nationale devrait l’aider à mener une politique climatique en cohérence avec les orientations de la CCNUCC.
Il a soutenu que d’ici avril 2020, le projet aura permis, entre autres, l’actualisation de l’inventaire national des gaz à effet de serre, l’évaluation des questions de vulnérabilité, d’adaptation et d’atténuation des émissions de gaz à effets de serre, la mise à jour des circonstances nationales des contraintes et des lacunes ainsi que l’évaluation des besoins en matière de renforcement des capacités, de financement et de transfert de technologie.