POLITIQUE
La journée consacrée à l’eau et au climat a pour objectif d’attirer l'attention sur l'eau en tant que solutions pour la mise en œuvre de l'Accord de Paris et promouvoir la justice climatique.
Charafat Afailal a profité de la circonstance pour évoquer le lancement du « Livre Bleu sur l'Eau et le Climat » par le gouvernement marocain et ses partenaires.
Cet ouvrage est perçu comme un résultat concret de la conférence internationale provisoire sur l'eau et le climat organisée en juillet denier à Rabat, en collaboration avec le gouvernement français et le Conseil Mondial de l'Eau.
L’eau a été perçu, en plus des besoins humains fondamentaux et de sa disponibilité, comme étant fondamentale pour la sécurité alimentaire, la santé humaine, la production d'énergie, la productivité industrielle, la biodiversité, d’où il faut « assurer la sécurité de l'eau, et par conséquent, tous les domaines qui nécessitent l’usage de l’eau ».
Des analystes se sont accordés à reconnaître que « l'eau est essentielle à l'atténuation du changement climatique en ce sens que les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre sont nécessairement tributaires d'un accès fiable aux ressources en eau ».
D’où leur suggestion « d’une adaptation au changement climatique en vue de réduire les impacts négatifs des catastrophes liées à l'eau ».
Déjà, le Royaume du Maroc, soutenue par la Banque Africaine de Développement, a lancé une initiative baptisée « Eau pour l'Afrique ». Il s’agit, à travers cette initiative, de rendre justice à l'Afrique par l'adoption d'un plan d'action spécifique qui mobilisera des partenaires politiques, financiers et institutionnels internationaux dans le souci d’améliorer les services et la gestion de l'eau et de l'assainissement en Afrique, pour les plus touchés par le changement climatique.
Benedito Braga, président du Conseil mondial de l'eau a fait remarquer que « l'humanité connaît un stress démographique et socioéconomique croissant, qui se compliquent avec le climat. C’est pourquoi, pour lui, si l’eau est l'une des ressources les plus touchées par le climat, toujours selon lui, l'eau est en mesure d’apporte des solutions aux défis climatiques.
Il est à noter que plus de 450 organisations à travers le monde ont signé un engagement commun dans le but de mobiliser bien d’autres partenaires et soutenir le développement de nouveaux projets par des acteurs sur le terrain engagés dans l'adaptation et la résilience du secteur de l'eau.
Charafat Afailal a profité de la circonstance pour évoquer le lancement du « Livre Bleu sur l'Eau et le Climat » par le gouvernement marocain et ses partenaires.
Cet ouvrage est perçu comme un résultat concret de la conférence internationale provisoire sur l'eau et le climat organisée en juillet denier à Rabat, en collaboration avec le gouvernement français et le Conseil Mondial de l'Eau.
L’eau a été perçu, en plus des besoins humains fondamentaux et de sa disponibilité, comme étant fondamentale pour la sécurité alimentaire, la santé humaine, la production d'énergie, la productivité industrielle, la biodiversité, d’où il faut « assurer la sécurité de l'eau, et par conséquent, tous les domaines qui nécessitent l’usage de l’eau ».
Des analystes se sont accordés à reconnaître que « l'eau est essentielle à l'atténuation du changement climatique en ce sens que les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre sont nécessairement tributaires d'un accès fiable aux ressources en eau ».
D’où leur suggestion « d’une adaptation au changement climatique en vue de réduire les impacts négatifs des catastrophes liées à l'eau ».
Déjà, le Royaume du Maroc, soutenue par la Banque Africaine de Développement, a lancé une initiative baptisée « Eau pour l'Afrique ». Il s’agit, à travers cette initiative, de rendre justice à l'Afrique par l'adoption d'un plan d'action spécifique qui mobilisera des partenaires politiques, financiers et institutionnels internationaux dans le souci d’améliorer les services et la gestion de l'eau et de l'assainissement en Afrique, pour les plus touchés par le changement climatique.
Benedito Braga, président du Conseil mondial de l'eau a fait remarquer que « l'humanité connaît un stress démographique et socioéconomique croissant, qui se compliquent avec le climat. C’est pourquoi, pour lui, si l’eau est l'une des ressources les plus touchées par le climat, toujours selon lui, l'eau est en mesure d’apporte des solutions aux défis climatiques.
Il est à noter que plus de 450 organisations à travers le monde ont signé un engagement commun dans le but de mobiliser bien d’autres partenaires et soutenir le développement de nouveaux projets par des acteurs sur le terrain engagés dans l'adaptation et la résilience du secteur de l'eau.
