L’objectif de cette nouvelle offensive des casques bleus est d’éloigner les groupes armés de l’UPC prompts à entretenir l’instabilité.
L’instabilité à Bambari a pris corps le 10 janvier dernier lorsque des éléments de l’UPC, désireux d’empêcher la célébration en différé de la Journée Mondiale de l’Alimentation, se sont attaqués aux invités venus des différentes préfectures et de la capitale centrafricaine, Bangui, provoquant le report des festivités.
En réponse à cette agression, les casques bleus appuyés par des éléments des Forces armés centrafricaines (FACA) ont riposté et repoussé les assaillants, permettant de rétablir l’ordre public par le démantèlement des barricades érigés çà et là dans la localité.
Considérant cette contre-offensive comme une provocation, les groupes armés des autres localités sont arrivés en masse à Bambari, suscitant l’émoi parmi les civils.
Ce bras-de-fer engagé par les groupes armés à Bambari constitue le premier test pour les casques bleus depuis l’adoption du nouveau mandat de la MINUSCA autorisant ces derniers à se servir de tous les moyens en leur possession pour assurer systématiquement la protection des civils.
Il convient de signaler qu’au cours de leurs opérations, samedi 19 janvier, les casques bleus ont fait des prisonniers dans les rangs de l’UPC, dont Ibrahim Garga, responsable politique de l’UPC.
L’instabilité à Bambari a pris corps le 10 janvier dernier lorsque des éléments de l’UPC, désireux d’empêcher la célébration en différé de la Journée Mondiale de l’Alimentation, se sont attaqués aux invités venus des différentes préfectures et de la capitale centrafricaine, Bangui, provoquant le report des festivités.
En réponse à cette agression, les casques bleus appuyés par des éléments des Forces armés centrafricaines (FACA) ont riposté et repoussé les assaillants, permettant de rétablir l’ordre public par le démantèlement des barricades érigés çà et là dans la localité.
Considérant cette contre-offensive comme une provocation, les groupes armés des autres localités sont arrivés en masse à Bambari, suscitant l’émoi parmi les civils.
Ce bras-de-fer engagé par les groupes armés à Bambari constitue le premier test pour les casques bleus depuis l’adoption du nouveau mandat de la MINUSCA autorisant ces derniers à se servir de tous les moyens en leur possession pour assurer systématiquement la protection des civils.
Il convient de signaler qu’au cours de leurs opérations, samedi 19 janvier, les casques bleus ont fait des prisonniers dans les rangs de l’UPC, dont Ibrahim Garga, responsable politique de l’UPC.