Intitulés « La Centrafricanité, antidote de la crise » et « la République Centrafricaine, la Parenthèse de la Séléka, chronique d’une coalition d’obédience musulmane au pouvoir », les deux ouvrages mettent l’accent sur la Centrafricanité déjà prônée par Barthélémy Boganda, fondateur et premier président de la République centrafricaine, c’est-à-dire l’intégration sous-régionale traduite plus tard par la création de la Communauté Economique et monétaire des Etats de l’Afrique Centrale(CEMAC).
« Nous venons tous des pays de la sous-région et toutes les ethnies centrafricaines se valent, ne nous déchirons pas », a lancé M. Saulet Surungba, pour qui « La centrafricanité est une lutte contre le tribalisme, le népotisme et le clanisme, c’est le redressement national et la libération du peuple centrafricain ».
Selon l’auteur, le deuxième livre qui s’intitule « la République Centrafricaine, la parenthèse séléka, chronique de la coalition d’une obédience musulmane au pouvoir » est une analyse sur les causes endogènes et exogènes de cette crise qui décrit les violences subies par la population et les réfugiés centrafricains.
Il a saisi l’opportunité pour inviter l’Etat centrafricain, particulièrement les juristes centrafricains à réglementer par une loi la pratique de la religion en République Centrafricaine, ajoutant que « la laïcité ne veut pas dire qu’il faut mélanger la politique et la religion », a-t-il ajouté.
Né à Fort Archambault (actuelle ville de Sarh), au Tchad, Clotaire Saulet Surungba est diplômé en sciences physiques des universités Jean-Bédel Bokassa de Bangui (RCA) et Paul Sabatier de Toulouse, en France.
Il a représenté la diaspora centrafricaine de la zone Europe au Conseil national de Transition (parlement de transition), de 2013 à 2016.
« Nous venons tous des pays de la sous-région et toutes les ethnies centrafricaines se valent, ne nous déchirons pas », a lancé M. Saulet Surungba, pour qui « La centrafricanité est une lutte contre le tribalisme, le népotisme et le clanisme, c’est le redressement national et la libération du peuple centrafricain ».
Selon l’auteur, le deuxième livre qui s’intitule « la République Centrafricaine, la parenthèse séléka, chronique de la coalition d’une obédience musulmane au pouvoir » est une analyse sur les causes endogènes et exogènes de cette crise qui décrit les violences subies par la population et les réfugiés centrafricains.
Il a saisi l’opportunité pour inviter l’Etat centrafricain, particulièrement les juristes centrafricains à réglementer par une loi la pratique de la religion en République Centrafricaine, ajoutant que « la laïcité ne veut pas dire qu’il faut mélanger la politique et la religion », a-t-il ajouté.
Né à Fort Archambault (actuelle ville de Sarh), au Tchad, Clotaire Saulet Surungba est diplômé en sciences physiques des universités Jean-Bédel Bokassa de Bangui (RCA) et Paul Sabatier de Toulouse, en France.
Il a représenté la diaspora centrafricaine de la zone Europe au Conseil national de Transition (parlement de transition), de 2013 à 2016.