L’objectif de cette activité, qui s'inscrit dans le cadre d'une campagne entamé en mai 2018, est de contribuer à la sensibilisation contre les fausses nouvelles et les messages haineux qui envahissent les réseaux sociaux et menacent la stabilité du pays.
Devant une trentaine de participants, "chauffés" par deux comédiens du groupe "Les perroquets", le président de l'ABCA, Rosmon Zokoué, a présenté un exposé visant à décortiquer les contenus et les procédés des "fake news" et des messages de haine.
"pour l’éradication des fake-news et également les discours haineux, nous pensons que l'ABCA doit jouer un rôle très important dans la diffusion des informations positives et appuyée par le Haut Conseil de la Communication qui est le garant des lois qui régissent les informations", a déclaré pour sa part la chargée de communication de l'Union européenne, qui a réaffirmé l'engagement de celle-ci au côté des promoteurs de la campagne.
La thématique choisie pour cette campagne est traitée avec la plus haute attention par le ministre de la Communication et les hauts dirigeants de ce pays, a déclaré quant à lui le représentant du ministre de la Communication.
Dans le combat contre les fausses nouvelles, qui, selon lui, vont plus vite que les bonnes, l’Association des blogueurs Centrafricains trouvera à ses côtés le ministère de la communication qui est le responsable des informations en direction de l’ ensemble de la communauté nationale, a-t-il ajouté.
C'est d'ailleurs pour faire échec à ces fausses nouvelles, et pour faire face aux graves difficultés en matières d'infrastructures, que le ministère de la Communication, sous l’impulsion d’Ange Maxime Kazagui, s’est doté d’un écosystème communicationnel permettant aux productions des médias publics (Radio et Télé Centrafrique et Agence Centrafrique Presse) d'être accessibles sur le net.
Créée en 2017, l'Association des blogueurs centrafricains s'est dotée d'une plateforme et d'une charte éditoriale bannissant les "messages susceptibles, par leur nature, de porter atteinte au respect de la personne humaine et de sa dignité, à l'égalité entre les femmes et les hommes, à la protection des enfants, à la protection de l’environnement et à la liberté d’expression".
Devant une trentaine de participants, "chauffés" par deux comédiens du groupe "Les perroquets", le président de l'ABCA, Rosmon Zokoué, a présenté un exposé visant à décortiquer les contenus et les procédés des "fake news" et des messages de haine.
"pour l’éradication des fake-news et également les discours haineux, nous pensons que l'ABCA doit jouer un rôle très important dans la diffusion des informations positives et appuyée par le Haut Conseil de la Communication qui est le garant des lois qui régissent les informations", a déclaré pour sa part la chargée de communication de l'Union européenne, qui a réaffirmé l'engagement de celle-ci au côté des promoteurs de la campagne.
La thématique choisie pour cette campagne est traitée avec la plus haute attention par le ministre de la Communication et les hauts dirigeants de ce pays, a déclaré quant à lui le représentant du ministre de la Communication.
Dans le combat contre les fausses nouvelles, qui, selon lui, vont plus vite que les bonnes, l’Association des blogueurs Centrafricains trouvera à ses côtés le ministère de la communication qui est le responsable des informations en direction de l’ ensemble de la communauté nationale, a-t-il ajouté.
C'est d'ailleurs pour faire échec à ces fausses nouvelles, et pour faire face aux graves difficultés en matières d'infrastructures, que le ministère de la Communication, sous l’impulsion d’Ange Maxime Kazagui, s’est doté d’un écosystème communicationnel permettant aux productions des médias publics (Radio et Télé Centrafrique et Agence Centrafrique Presse) d'être accessibles sur le net.
Créée en 2017, l'Association des blogueurs centrafricains s'est dotée d'une plateforme et d'une charte éditoriale bannissant les "messages susceptibles, par leur nature, de porter atteinte au respect de la personne humaine et de sa dignité, à l'égalité entre les femmes et les hommes, à la protection des enfants, à la protection de l’environnement et à la liberté d’expression".