POLITIQUE
C’est pourquoi, le souci du Président Bozizé de rétablir l’Etat, de rassembler la nation, commande de passer un contrat avec la nation sous forme d’un rassemblement de chacun et de tous. Le processus électoral amorcé dans un climat de paix traduit la dignité du peuple centrafricain en allant massivement aux urnes pour choisir le candidat de son choix. La force des armes a cédé la place au dialogue démocratique. La vertu de la tolérance a triomphé sur la vertu de la passion.
L e peuple a voté François Bozizé Yangouvounda. C’est un choix ultime quand bien même que nous avons constaté des dysfonctionnements sur le plan organisationnel qui n’entachent en rien le vote. Dès l’annonce des résultats par la cour constitutionnelle, l’opposition s’est émoussée avec une ligne de conduite allant dans le sens d’inciter la masse à faire une marche de protestation. Beaucoup ont décrié cette attitude rocambolesque jadis adoptée par des régimes précédents. La quasi-totalité des centrafricains ont compris l’enjeu machiavélique tendant non seulement à discréditer le pays mais à amener les troubles qui risquent de désarticuler les structures économiques d’un pays qui cherche son décollage économique. Le centrafricain, fidèle à sa devise léguée par Barthélémy Boganda à savoir « Unité-Dignité-Travail », ce concept fondamental est scrupuleusement respecté par le peuple, lequel ne veut pas descendre dans la rue pour être un snobiste avec une idée préconçue de saboter son propre pays. Le peuple a décidé de prendre le chemin de la paix et de vivre dans une harmonie où règnent la sécurité et la concorde nationale. La recherche systématique d’une accalmie après la proclamation des résultats par la Cour constitutionnelle est un acte légal et de bravoure pour certains opposants comme Jean Jacques Démafouth et Ange Félix Patassé qui ont opté résolument pour la paix rien que la paix. Cette démarche salutaire ne peut qu’être en odeur de sainteté. Voilà l’épiphénomène d’une entente qui ne peut se dégénérer que sur une accalmie générale. Il est vrai que dans toute chose, il y a un gagnant et un perdant. Et dans les démocraties naissantes, on assiste à ce type de scénario. C’est ce qui caractérise l’homme démocrate dans un pays où la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
L e peuple a voté François Bozizé Yangouvounda. C’est un choix ultime quand bien même que nous avons constaté des dysfonctionnements sur le plan organisationnel qui n’entachent en rien le vote. Dès l’annonce des résultats par la cour constitutionnelle, l’opposition s’est émoussée avec une ligne de conduite allant dans le sens d’inciter la masse à faire une marche de protestation. Beaucoup ont décrié cette attitude rocambolesque jadis adoptée par des régimes précédents. La quasi-totalité des centrafricains ont compris l’enjeu machiavélique tendant non seulement à discréditer le pays mais à amener les troubles qui risquent de désarticuler les structures économiques d’un pays qui cherche son décollage économique. Le centrafricain, fidèle à sa devise léguée par Barthélémy Boganda à savoir « Unité-Dignité-Travail », ce concept fondamental est scrupuleusement respecté par le peuple, lequel ne veut pas descendre dans la rue pour être un snobiste avec une idée préconçue de saboter son propre pays. Le peuple a décidé de prendre le chemin de la paix et de vivre dans une harmonie où règnent la sécurité et la concorde nationale. La recherche systématique d’une accalmie après la proclamation des résultats par la Cour constitutionnelle est un acte légal et de bravoure pour certains opposants comme Jean Jacques Démafouth et Ange Félix Patassé qui ont opté résolument pour la paix rien que la paix. Cette démarche salutaire ne peut qu’être en odeur de sainteté. Voilà l’épiphénomène d’une entente qui ne peut se dégénérer que sur une accalmie générale. Il est vrai que dans toute chose, il y a un gagnant et un perdant. Et dans les démocraties naissantes, on assiste à ce type de scénario. C’est ce qui caractérise l’homme démocrate dans un pays où la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
