Selon lui, il n'existe pas de solution militaire à la crise centrafricaine. En outre, a-t-il poursuivi, il n'y a pas d'alternative crédible au dialogue préconisé dans le cadre de l'initiative africaine. Enfin, d'après lui, il est impératif de faire de l'année 2019 une année de paix et de la réconciliation nationale en République Centrafricaine, sur la base d'une initiative de l'Union africaine.
Le dialogue de Khartoum, a-t-il signifié, est direct entre les interlocuteurs du gouvernement centrafricain et les leaders des quatorze groupes armés. Raison pour laquelle, il leur a suggéré l'exigence de l'humilité et du compromis lors des échanges, et l'obligation de résultat.
"La paix, c'est ici et maintenant", a-t-il martelé, parlant même de choix créatif, voire audacieux sur les moyens de sauver la paix en République centrafricaine, à travers des signaux évidents de réconciliation exigée par les concitoyens meurtris.
Tout comme le secrétaire général adjoint de l'ONU en charge des opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, M. Chergui a annoncé la disponibilité de l'Union africaine a accompagner les parties prenantes centrafricaines dans le règlement du conflit.
D'où des échanges fructueux sur la question lors de la réunion interministérielle Europe/Afrique pour obtenir également le soutien de l'Union européenne dans les mesures d'accompagnement au sortir de la crise centrafricaine. Des partenaires d'Afrique et d'Asie, a-t-il dit, sont disposés à en faire autant.
Etape décisive de la Feuille de route de l'Union africaine pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine, adoptée à Libreville au Gabon le 17 juillet 2017, le dialogue inter-centrafricain regroupe le gouvernement centrafricain et les leaders de 14 groupes armés actifs sur son territoire.
Il a pour objectif général de promouvoir le dialogue entre le gouvernement et les groupes armés en vue de parvenir à un accord de paix et de réconciliation, créant les conditions favorables à un désarmement complet.
Le dialogue de Khartoum, a-t-il signifié, est direct entre les interlocuteurs du gouvernement centrafricain et les leaders des quatorze groupes armés. Raison pour laquelle, il leur a suggéré l'exigence de l'humilité et du compromis lors des échanges, et l'obligation de résultat.
"La paix, c'est ici et maintenant", a-t-il martelé, parlant même de choix créatif, voire audacieux sur les moyens de sauver la paix en République centrafricaine, à travers des signaux évidents de réconciliation exigée par les concitoyens meurtris.
Tout comme le secrétaire général adjoint de l'ONU en charge des opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, M. Chergui a annoncé la disponibilité de l'Union africaine a accompagner les parties prenantes centrafricaines dans le règlement du conflit.
D'où des échanges fructueux sur la question lors de la réunion interministérielle Europe/Afrique pour obtenir également le soutien de l'Union européenne dans les mesures d'accompagnement au sortir de la crise centrafricaine. Des partenaires d'Afrique et d'Asie, a-t-il dit, sont disposés à en faire autant.
Etape décisive de la Feuille de route de l'Union africaine pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine, adoptée à Libreville au Gabon le 17 juillet 2017, le dialogue inter-centrafricain regroupe le gouvernement centrafricain et les leaders de 14 groupes armés actifs sur son territoire.
Il a pour objectif général de promouvoir le dialogue entre le gouvernement et les groupes armés en vue de parvenir à un accord de paix et de réconciliation, créant les conditions favorables à un désarmement complet.